Le confucianisme au vietnam

Le confucianisme au vietnam

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Culture et tradition

Le confucianisme au vietnam:  C’est le socle des institutions sociales et familiales du Vietnam depuis près de vingt siècles. Selon Confucius, l’homme ne peut vivre hors de la société et doit servir son roi, honorer ses parents, respecter ses ancêtres, diriger une famille. Les idées exposées dans le Livre des annales ou dans le Mémorial des rites s’incarnent dans les moeurs et coutumes du pays : politesse, bienséance, respect de l’autorité. Confucius (551-479 av. J.-C) n’a laissé aucun écrit, les témoignages de sa pensée ayant été rédigés par ses disciples. Il n’est pas philosophe et n’a fondé aucune spiritualité contrairement à ses contemporains Bouddha et Laozi. Toute sa doctrine repose sur l’équilibre de la société.

Le confucianisme au vietnam: Introduit au Vietnam au IIIème de notre ère, Le confucianisme au vietnam fut la doctrine officielle des concours du mandarinat qui eurent lieu entre 1075 et 1919 dans le temple de la Littérature à Hanoï, concours qui comprenaient six épreuves : rites, musique, conduite d’un char, tir à l’arc, calligraphie et mathématiques.

Quelques préceptes de Confucius:

Agissez envers les autres comme vous aimeriez qu’ils agissent envers vous.

Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu.

Après une faute, ne pas se corriger, c’est la vraie faute.

C’est un tort égal de pécher par excès ou par défaut.

Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres évite les mécontentements.

Celui qui gouverne un peuple en lui donnant de bons exemples est comme l’étoile polaire, qui demeure immobile pendant que toutes les autres se meuvent autour d’elle.

Celui qui ne sait pas ce que c’est que la vie, comment saura-t-il ce que c’est que la mort?

Chaque classe d’hommes tombe dans un excès qui lui est particulier. On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts.

Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie.

Dépasser les limites n’est pas un moindre défaut que de rester en deçà.

Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine; réfléchir sans livre ni maître est dangereux.

Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d’ennuis te seront épargnés.

Le confucianisme au vietnam

J’entends et j’oublie.
Je vois et je me souviens.
Je fais et je comprends.

Je ne veux ni ne rejette rien absolument, mais je consulte toujours les circonstances.

L’homme honorable commence par appliquer ce qu’il veut enseigner; ensuite il enseigne.

L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments.

Le sage donne son principal soin à la racine.

Le sage ne s’afflige pas de ce que les hommes ne le connaissent pas; il s’afflige de ne pas connaître les hommes.

Le silence est un ami qui ne trahit jamais.

On ne doit jamais penser à la distance, quelle qu’elle soit, qui nous sépare de la vertu.

On trouve des disciples de la sagesse qui ne sont pas parfaits; on n’a jamais vu un homme sans principes qui fût parfait.

Oublie les injures, n’oublie jamais les bienfaits.

Se vaincre soi-même, rendre à son coeur l’honnêteté qu’il tenait de la nature, voilà la vertu parfaite … Il dépend de chacun d’être parfaitement vertueux.

La définition de l’honnête homme
Le confucianisme au vietnam: L’enseignement de Confucius, humaniste chinois du 6e s. av. J.-C., prônait une morale sociale et politique applicable au niveau familial comme national. L’honnête homme doit ainsi, à la base de toute action, obéir aux deux principes de bonté et de justice, et entretenir six qualités morales : la piété filiale (qui se traduit par le culte des ancêtres), le courage, la loyauté, la fidélité à la parole donnée, le respect des rites et le respect des règles de préséance. Enfin, pour maintenir l’harmonie et la cohésion sociales, la doctrine confucéenne définit cinq ¬relations naturelles : obéissance des sujets à leur roi, du fils à son père, de la femme à son mari, du cadet à son aîné, et respect entre les amis. L’individu est d’abord un être social, qui fait abstraction de sa liberté individuelle pour remplir ses devoirs envers la communauté.
Seule l’éducation, accessible à tous, pouvant lui permettre d’acquérir ces valeurs morales, il est important que l’honnête homme soit un homme instruit. L’élève doit ainsi étudier et commenter les textes classiques puisés dans l’histoire chinoise, dans lesquels le comportement des héros lui indique l’attitude juste à prendre dans toutes les circonstances de la vie. Aujourd’hui, ce sont les parents qui inculquent aux enfants la bonne conduite, notamment à travers le culte des ancêtres et la solidarité familiale

Le Caodaïsme

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Culture et tradition

Le mot Caodaïsme vient de Cao-Dài dont la traduction littérale correspond à : Palais Suprême. Ce double terme se trouve dans les plus antiques prières bouddhiques. Ceci situe la principale origine de cette religion qui est d’abord, nous le verrons, celle du Bouddhisme rénové.

Religion nouvelle ( son message essentiel date de 1926 ), Le Caodaïsme plonge ses racines aux traditions les plus éprouvées du Bouddhisme et aux révélations les plus pures.

Le Caodaïsme est, jusqu’à un certain point, comparable à ce que le Protestantisme était, à son origine, vis-à-vis du Catholicisme romain. Du reste, même cette possibilité de comparaison est déjà dépassée dans le sens bénéfique, c’est-à-dire dans le sens de la bonne entente, comme il est maintenant permis d’envisager pour un avenir plus ou moins lointain l’union des Église chrétiennes dans une totale unité catholique.

Ce qui caractérise le Caodaïsme, c’est son esprit de synthèse. C’est pourquoi son rôle conciliateur peut rendre de grands services à la paix religieuse, donc à la paix tout simplement.

Il n’y a pas de sectarisme dans Le Caodaïsme, aussi au lieu de tendre à l’opposition des religions entre elles, cette religion nouvelle constitue et constituera de plus en plus une invite permanence à la bonne entente entre les diverses obédiences religieuses, mystiques, philosophiques ou ésotériques.

Bonne entente de toutes les forces spirituelles qui doit donner au monde une meilleure harmonie sur tous les plans.

Notre regretté ami, Gabriel Gobron, voulait montrer la beauté, les réalités, l’efficacité de la religion caodaïste tout en exposant l’histoire et la pratique.

Gabriel Gobron, né à Bayonville le 5 juillet 1895, a quitté son enveloppe charnelle et de souffrance le 8 juillet 1941 à Rethel.

Polyglotte émérite, chercheur infatigable dans le monde de l’Esprit et des esprits, romancier, historien, journaliste, professeur, Gabriel Gobron fut un curieux et aussi un curieux homme. Grand c÷ur, par sa générosité intellectuelle débordante, il fut polémiste ardent.

Curieux certes, mais sans dilettantisme quand il pensait avoir découvert une beauté spirituelle, une vérité philosophique ou religieuse, il voulait aussitôt la faire connaître, la faire partager. Il n’hésitait pas à combatte, toujours avec fougue, ceux qui, à ses yeux, voulaient mettre la lumière sous le boisseau. C’est ainsi qu’il découvrit le Caodaïsme, c’est ainsi qu’il combattit jusqu’à son dernier souffle, en priant pour son épanouissement. Gabriel Gobron, grande intelligence, fut surtout un grand cœur

Après la période de recherches, d’études et de découvertes dès 1930, Gabriel Godron fut un propagateur convaincu, un initiateur éclairé et bientôt, officiellement accrédité du Caodaïsme en Occident et plus particulièrement en France.

Conférences, articles, études se succédèrent et avec des textes demeurés inédits, ils formèrent un dossier copieux dont le présent livre posthume est une des principales parties.

C’est ainsi que le présent ouvrage constitue un authentique message de l’Au-Delà. Ce fut pour nous une ÷uvre bien consolante de mettre au point ce texte et, hélas ! de le réduire à deux cents pages.

Message de l’Au-Delà, cette œuvre posthume sera, nous l’espérons, particulièrement bien accueillie par les nombreux amis spirites de l’auteur qui a tant fait, par la plume, la parole et l’expérimentation, pour le Spiritisme.

C’est, on peut bien le dire, le Spiritisme qui mena Gabriel Gobron vers le Caodaïsme car, ainsi que nous le verrons, cette religion, véritable Bouddhisme rénové, eut à son origine, et conserve encore, des liens certains avec le Spiritisme. D’où le second sous-titre dicté par Gabriel Gobron : Le Spiritisme annamite.

Par respect pour la mémoire de l’auteur, autant que pour l’exactitude de présentation, nous avons conservé ces deux sous-titres qui qualifient parfaitement : Le Caodaïsme, Bouddhisme rénové et Spiritisme annamite Nous aurions pu, pour être complet, ajouter : synthèse des religions. C’était là empiéter sur un ouvrage que nous espérons plus tard révéler au public si on nous donne les encouragements nécessaires. Encouragements qui sont d’un ordre purement spirituel.

Car le Caodaïsme, né du spiritisme, rénova le Bouddhisme et s’est ensuite épanoui dans un harmonieuse synthèse des religions. Ceci sans rien perdre de ce qu’il y avait de meilleur dan son origine spirite, ni de sa formation bouddhique.

Véritable théosophie, la doctrine caodaïste attirant en elle en parfaite sélection, tout ce que les autres religions avaient de bon, de beau et, surtout, d’essentiel soit dans la morale pratique, soit dans le rituel, soit dans la philosophie.

La grande modestie du Frère Gago ( c’est ainsi qu’appellent Gabriel Gobron les caodaïstes d’Indochine ) eût volontiers limité son rôle à celui d’avocat-polémiste, propagandiste de la religion nouvelle. Ses études, ses méditations, sa mystique lui méritèrent davantage. On peut dire aujourd’hui qu’il est le premier philosophe et le premier historien du Caodaïsme.

Son œuvre semblait être inachevée lorsqu’il quitta la quotidienneté de la vie pour l’Orient éternel ; avec la publication du présente livre, sa valeur d’historien du Caodaïsme se trouve confirmée.

De l’Au-Delà, Frère Gago nous éclaire et nous protège car telle était la volonté profonde de sa Foi.

Pieusement, écoutons-le accepter sa mission avec une humilité toute caodaïste :

 » Si nous avons accepté ce rôle ingrat de premier historien du Caodaïsme, c’est que nos frères et amis d’Annam ont jugé dans leur indulgence excessive que nous étions l’un des Occidentaux les mieux documentés sur les progrès et les tribulations du bouddhisme rénové.

Une santé précaire ne favorise guère les devoirs accablants d’une telle charge. Nous nous excusons auprès du lecteur attentif, de toutes les imperfections de notre travail, nous lui demandons seulement, surtout, de nous pardonner quand il nous arrivera de n’être pas  » dans la ligne « , c’est-à-dire fraternel, même envers nos adversaires et nos ennemis : C’est qu’alors le Caodaïste aura été indigne, il ne sera pas même arrivé à la Seigneurie de soi-même, le malade aura arraché son bonnet dans un mouvement d’humeur et piétiné les pages les plus sublimes du Christ, du Bouddha, de Confucius…  »

Avec componction, nous avons transmis le message, il ne nous reste qu’à nous taire pour laisser le lecteur lire, délivré de nos commentaires, le premier livre posthume de Gabriel Gobron.

LES ORIGINES DU SPIRITISME ANNAMITE
Le Rev. Stainton Moses fit au Mont Athos une retraite de six mois au cours de laquelle il étudia la théologie et confronta diverses thèses contradictoires. Excellent exercice qui ramène l’esprit, trop porté à être doctrinaire, dogmatique, intolérant, à plus d’humilité, de sagesse, de vérité. Il fut ensuite nommé dans un petit presbytère de l’Ile de Man où les loisirs ne lui manquèrent pas : Nature, lecture, prière, méditation, silence et contemplation mystiques firent de lui un orateur poignant : L’esprit Impérator s’était saisi déjà de lui et entendait ne plus le lâcher, pas plus que son démon ne lâcha Socrate. Impérator mena le Rev. Stainton Moses à l’Université d’Oxford, mais surtout fit de lui l’un des plus précieux instruments de la  » Nouvelle Révélation « , l’un des médiums les plus subliment inspirés de notre siècle.

C’est dans la même solitude, dans le même calme, dans la même retraite médiative, que Cao-Dài trouva son premier caodaïste. Pas de temple plus beau que celui de la Nature, pas de livre plus divin que le grand Livre de la Vie : Jésus se retire au Jardin de Gethsémani, au Désert même ; Saint François d’Assise parle à la petite s÷ur la pluie, au petit frère le vent, aux étoiles silencieuses, aux hirondelles bavardes, et il passe sa main sur le museau du loup de Gubbio qu’il ramène chez lui comme un bon chien docile. Le naturaliste suédois Bengt Berg arriva à faire pondre et à faire couver dans sa main l’oiseau le plus craintif de la Laponie : Lahol

( Mon ami le pluvier, Stock ). Là où est le Saint, la terre est sainte et la nature surnaturelle.

Le premier Caodaiste

Ce fut au début de l’année Binh-Dân ( 1926 ) que le Caodaïsme fut définitivement fondé. Mais depuis six ans déjà, un homme adorait le Grand Maître Cao-Dài : M. le Phu Ngô Van Chiêu, qui fut ensuite en service au 2ème Bureau du Gouvernement de Cochinchine.

Délégué administratif, en 1919, au poste de Phu-Quôc, île située dans le Golfe de Siam, M. Ngô Van Chiêu menait une vie de haute sagesse, conforme aux règles rigoureuses de la Doctrine taoïste. De temps en temps, dans cette localité isolée si propice à la vie religieuse, il s’adonnait, à l’aide de jeunes médiums de 12 à 15 ans, à l’évocation des Esprits supérieurs ( Câu-Tiên ) de qui il recevait les instructions nécessaires à son évolution spirituelle. Parmi les Esprits communicants, il s’en trouvait un qui se nommait Cao-Dài et s’intéressait de façon particulière au Phu Chiêu.

Au début, ce nom souleva l’étonnement général des personnes présentes parce qu’à leur connaissance aucun livre religieux n’en avait fait mention. Néanmoins, le Phu Chiêu, dont la perspicacité faisait l’admiration de ses camarades, crut y reconnaître un surnom de Dieu à cause des révélations et des enseignements d’une haute portée philosophique qu’il en avait reçus maintes reprises.

Ayant demandé à Cao-Dài la permission de l’adorer sous une forme tangible, il reçut l’ordre de le représenter par un oeil symbolique.

Telle fut la conversion du premier caodaïste à la nouvelle religion qui devait, six années plus tard, s’implanter à Sàigon. Bientôt, les fonctions administratives du Phu Chiêu le rappelèrent à la capitale, où il conquit quelques prosélytes à la Foi nouvelle. Mais quittons pour le moment ces premiers convertis pour montrer aux lecteurs la manière dont le Grand Maître recruta ses médiums.

C’était au milieu de l’année Ât-Suu ( 1925 ). Un petit groupe de secrétaires annamites appartenant à diverses administrations à Sàigon, se délaissaient chaque soir, en faisant du spiritisme. Ils se servaient à cet effet de la  » table frappante « . Les premiers essais furent médiocres. Mais à force de patience et d’entraînement, ils obtinrent des résultats positifs. Aux questions posées aux Esprits, soit en vers, soit en prose, ils recevaient des réponses surprenantes. Leurs parents ou amis défunts se manifestèrent pour leur parler d’affaires de famille et leur conseiller en même temps l’abnégation. Ces révélations sensationnelles leur apprirent ainsi l’existence d’un monde occulte.

Toutefois, un des Esprits communicants se faisait remarquer particulièrement par son assiduité et ses enseignements d’une haute portée morale et philosophique. Cet Esprit qui signait sous ce pseudonyme  » AAA  » ne voulait pas se faire connaître, malgré les prières des assistants. Bientôt, d’autres secrétaires annamites vinrent grossir ce petit groupe de spirites amateurs. Les séances devinrent alors plus sérieuses et plus régulières. Comme l’emploi de la  » table frappante  » n’était pas commode, l’Esprit en question la fit remplacer par la  » corbeille à bec « . Avec cet appareil qui permet l’écriture directe, les communications devinrent naturellement plus rapides et moins fatigantes pour les apprentis-médiums.

Le 24 décembre 1925, à l’occasion de la Noël, l’Esprit guide, qui s’était obstiné jusque-là à garder l’anonymat, se révéla enfin aux néo-spirites comme étant  » l’Être Suprême  » venant sous le nom de Cao_Dài pour enseigner la vérité au pays d’Annam. S’exprimant en annamite, Il dit en substance :

 » Réjouissez-vous de cette fête. C’est l’anniversaire de ma venue en Europe pour enseigner ma doctrine. Je suis très heureux de vous voir, ô disciples pleins de respect et d’amour à mon égard ! Cette maison de l’un des médiums aura toutes mes bénédictions. Les manifestations de ma Toute-Puissance vous inspireront encore plus de respect et d’amour à mon égard…  »

Dès lors, le Grand Maître initia ses disciples à la doctrine nouvelle.

Tel fut le recrutement des premiers médiums chargés de la réception des messages divins.

Sur Chiêu, le premier caodaïste, la Revue caodaïste ( n° 22, mars 1933 ), à l’occasion de sa désincarnation, nous apporte quelques détails.

I. – Son enfance

Le Phu Ngô Van Chiêu vint au monde le 28 février 1878 à Binh-tây ( Cholon-ville ), dans une modeste maison située derrière la pagode dédiée à Quan-Dê, le Turenne chinois.

A sa naissance, il refusa le sein de sa mère qui dut lui donner, à la place du lait naturel, du bouillon de riz.

Ses parents, qui étaient fort pauvres, vinrent s’établir par la suite à My-tho et le confièrent à sa tante, qui l’envoya à l’école. Doué d’une vive intelligence, il ne tarda pas à se faire remarquer et à l’âge de douze ans, il se présenta lui-même à M. l’Administrateur de la province de My-tho pour solliciter une bourse qui lui fut accordée. Admis comme élève interne boursier, d’abord au cycle primaire, puis au cycle complémentaire du Collège de My-tho, il travailla avec ardeur et passa avec succès le concours de secrétaire du Gouvernement. Pour l’époque, cet emploi envié était le couronnement des études complémentaires franco-indigènes. Âgé alors de vingt et un ans, le jeune homme s’en contenta, faute de pouvoir pousser plus loin ses études, et pour venir en aide à ses parents.

II. – Sa vie de fonctionnaire et sa vocation religieuse.

Le fonctionnaire débutant fut affecté au Service de l’Immigration, à Sàigon. Il y passa trois ans, de 1899 à 1902. Ayant un penchant naturel pour les choses religieuses, il aimait à raconter les histoires des saints et les aventures des immortels de la Chine antique qu’il avait entendu narrer par des camarades chinois au temps où il était chez sa tante, mariée à un Chinois. Un jour, un de ses amis le surprit en train de raconter une histoire de saints à de petits élèves chinois de Cho-lon, à qui il donnait tous les soirs des leçons particulières. Il avait pour les génies et les saints un grand respect. Chez lui il avait dressé un autel en l’honneur de Quan-Thanh Dê-Quân. Il récitait souvent le  » Minh-Thanh-Kinh « , livre de prières dont l’Esprit de ce grand général, doublé d’un homme de haute vertu, est l’auteur, et jeûnait deux jours par mois.

En 1902, au cours d’une séance de spiritisme qui eut lieu à Thu-dâu-môt, où il était présent, un Esprit supérieur se manifesta et, après lui avoir révélé sa prochaine mission religieuse, l’exhorta à pratiquer sans tarder le Dao.

Si nous consultons la Revue illustrée, qui a entrepris une série d’articles sur les différentes manifestations religieuses de l’Inde britannique, du Siam, de la Chine, du Japon, des Philippines, etc., nous trouvons dans le N° 2 de mars 1933 une étude sur le Caodaïsme en Indochine. Nous lisons au sujet de ses origines :

 » De date récente ( 1929 ), le Caodaïsme a pris de l’ampleur rapidement et s’est étendu dans toute la Cochinchine.

Origine. – Au début de 1926, quelques jeunes lettrés annamites, tous bouddhistes, se réunirent dans un  » compartiment  » situé en plein centre de Sàigon. Ils avaient l’habitude de faire  » tourner  » la table et de se livrer à des expériences de spiritisme.

Or, après une période de tâtonnements, ils finirent par obtenir des résultats  » surprenants « , dirent-ils, en se servant de camarades possédant un  » fluide  » puissant.

Ils furent au début en communication spirituelle avec des sages de l’Antiquité chinoise Ly-Thai-Bach, appelé plus communément Le-Tai-PE, l’Homère chinois, celui qui rénova les lettres sous la 13ème dynastie Tang ( 713-742 ) et fut un Taoïste fervent.  »

Ainsi, une fois de plus, nous apparaît justifié notre sous titre : Le Caodaïsme ou Spiritisme annamite.

Il leur répondit de se servir de la corbeille.

Et comme ils lui demandaient de leur indiquer en quoi cela consistait – ( les personnes plus ou moins versées dans le spiritisme ou ayant seulement assisté à une seule séance voient d’après cela combien ils étaient encore novices ) – l’Esprit les engagea à s’adresser à leur compatriote, le Phu Chiêu, très versé en spiritisme, car il lui serait trop difficile à lui, de leur faire comprendre, au moyen d’une table, de quoi il s’agissait.

Du même coup, le Caodaïsme allait naître, ou plutôt allait entrer dans sa phase actuelle de popularité ; car, depuis de longues années déjà, comme on va le voir, un homme adorait Cao-Dài.

Cet homme qui suivait la sainte doctrine du Bouddha Gautama, n’était autre que le Phu Chiêu. En dehors de la morale du Bouddha et celle de Confucius qu’il vénérait comme des émanations divines, il croyait à l’existence d’un Être Suprême, Tout-puissant, Maître Souverain de l’Univers, qu’il appelait Cao-Dài. Il croyait aussi aux Esprits avec lesquels il se disait en relation depuis de nombreuses années. La dignité de vie de ce premier caodaïste, vers lequel étaient envoyés nos jeunes gens, était exemplaire. Ses compatriotes, à l’unanimité, le considéraient comme un très saint homme. Il enseigna aux secrétaires l’usage de la corbeille à bec, sur laquelle je reviendrai plus loin, ce qui facilita grandement leurs séances de spiritisme. Il y participa lui-même, heureux de disposer de médiums particulièrement doués, exercés, possédant un fluide extraordinairement puissant.

Après être entrés en relation avec le Phu Chiêu, c’est dans les même conditions sur les invitations du même esprit, qu’ils s’en allèrent trouver chez lui un autre de leurs compatriotes, ancien mandarin cochinchinois, membre du conseil de Gouvernement, Lê Van Trung, qui se livrait aussi, de temps à autre, à des séances de spiritisme; Lê Van Trung dont ils ignoraient le nom, avant que l’esprit ne le leur eût indiqué, n’avaient pas toujours mené, lui, une vie d’une sagesse exemplaire, il avait, au contraire, jouit de l’existence autant qu’il est possible de le faire au point qu’à l’heure où nos jeunes gens furent délégués vers lui pour recevoir son enseignement il avait en ripailles dilapidé la quasi totalité de sa fortune.

Ayant déjà dépassé la cinquantaine, Lê Van Trung, qui passait aux yeux de tous pour un matérialiste impénitent, à ses heures spirite amateur , considéra comme un avertissement de l’Être Suprême le fait d’avoir été désigné avec le Phu Chiêu qu’il connaissait de longue date, pour indiquer leur voie aux jeunes spirites. A partir de ce jour, il résolut de mener, lui aussi, une vie exemplaire et de se montrer digne de la mission pour laquelle il avait été désigné par Cao-Dài. En fait, il cessa brusquement de fumer l’opium sans en être incommodé le moins du monde ( ce qui prouve, disent les Caodaïstes, combien il était soutenu par l’Être Suprême, car un autre n’aurait pu se désintoxiquer aussi facilement ), il s’abstint de boire de l’alcool, de se nourrir de viandes, de poissons, devint, en un mot, un végétarien sincère et pratiqua l’ascétisme des bonzes les plus austères.

Cette conversion miraculeuse attira à lui un premier lot d’adeptes en général issus de familles aisées ou remplissant des fonctions administratives d’un rang assez élevé, notamment le Phu-Tirong, en service dans la province de Cho-lon, qui était, comme son collègue Chiêu, un homme d’une moralité supérieure, pratiquant en toutes occasions la vertu de l’humanité chère à Confucius, le doc-phu Lê Ba Trang, le huyên honoraire Nguyen Ngoc Tho et sa compagne ex-Madame Monnier, Cochinchinoise très riche, employant depuis de longues années une partie de ses revenus à des œuvres de bien faisance et de charité.

Le Phu Chiêu, qui avait tout d’abord été désigné pour remplir les fonctions de chef suprême de la religion, de pape du Caodaïsme, tint à rester à l’écart et fut remplacé par Lê Van Trung.

Comme je demandais à l’un des principaux dignitaires les raisons de l’attitude de Chiêu, il me fut répondu qu’il avait été le premier Caodaïste de Cochinchine, qu’il aurait dû normalement remplir les fonctions de chef suprême de cette religion, mais qu’il s’était montré une épreuve que Dieu lui avait assignée comme il en impose à tous les êtres supérieurs ayant de les élever, d’un degré, sur l’échelle dont le sommet est la perfection et qu’il était, de ce fait, obligé de racheter la faiblesse dont il avait fait preuve avant de reprendre la place à laquelle son passé semblait lui donner droit.  »

Le Pape du Caodaïsme

La conversion de M. Lê Van Trung, qui devait devenir Pape du Caodaïsme, fut l’un des grands événements en Indochine :

C’était également en 1925, M. Lê Van Trung habitait à Cholon-ville. Adonné à diverses entreprises, dans le tumulte de cette ville vouée au culte de l’argent, il avait l’esprit complètement éloigné de la religion. Un soir, sur l’invitation d’un de ses parents, spirite convaincu et appartenant à une secte religieuse dite  » Minh-Ly « (1) à Saigon, il se rendit à une séance médiumnique qui devait avoir lieu dans la banlieue, à Cho-gao.

A cette réunion, ce fut l’Esprit Ly Thai Bach qui se manifesta. Prenant à part M. Trung, Il lui révéla son origine spirituelle et lui annonça en même temps sa prochaine mission religieuse. Il exhorta alors à se soumettre aussitôt au régime imposé par la foi nouvelle. Touché par la grâce, M. Trung changea sans hésiter de vie. Soutenu par sa foi, il eut le courage de cesser aussitôt de fumer l’opium et de suivre le régime végétarien ; il abandonna également ses entreprises pour pouvoir se consacrer entièrement à la religion.

La conversion de cet homme, hier encore si attaché aux biens et aux jouissances de la vie, est si frappante qu’on peut se demander si les séances spirites organisées jusque-là à Cho-gao n’avaient pas été inspirées par des Esprits missionnaires dans l’unique but de ramener M. Lê Van Trung dans la voie de la Loi. En effet, lorsque celui-ci eut pris la résolution de vivre selon la foi nouvelle qu’il avait embrassée, ils ordonnèrent la dispersion du groupe spirite, au grand étonnement et à la profonde affliction de ses membres.

A Saigon, le Grand Maître, jugeant le moment venu, rapprocha ses médiums de M. Lê Van Trung. Il envoya alors deux de ceux-ci ( MM. Cu et Tac ) chez le nouveau converti, avec ordre d’y organiser une séance au cours de laquelle, il lui donnerait des instructions.

M. Trung, qui ne connaissait pas ces médiums accepta cependant leur proposition lorsqu’il eut appris les motifs de leur démarche.

Une séance évocatrice eut lieu. Le Grand Maître, entre autres enseignements, énonça à M. Trung sa grande mission prochaine dans la nouvelle religion qu’il allait fonder pour sauver l’humanité.

Cette révélation confirmait les allusions des divers messages spirites que M. Trung avait reçus à Cho-gao avec d’autres médiums. Elle fortifia sa conviction et l’encouragea à se consacrer sans réserve aux pratiques religieuses.

Quelque temps après, le Grand Maître envoya MM. Trung, Cu et Tac auprès du phu Chiêu, qui devait les guider dans la voie religieuse en qualité de frère aîné. Celui-ci qui, de son côté, en avait été instruit par le Grand Maître, leur fit le plus cordial accueil. Il les mit immédiatement en contact avec ses premiers coreligionnaires. Le noyau caodaïste fut ainsi formé qui comprenait une douzaine de membres, tous de culture française et employés, pour la plupart, dans diverses administrations à Saigon.

La ferveur et le désintéressement de ces pionniers de la première heure attirèrent bientôt à eux un nombre d’adhérents de plus en plus élevé. La religion caodaïste sortit alors de son cercle restreint pour se répandre dans le peuple au début de l’an Binh-Dan ( 1926 ).

M. le phu Chiêu, habitué à la solitude, fut contrarié par l’affluence des adeptes, qui l’inquiéta. Fonctionnaire conscient de ses devoirs, il prit la résolution de se tenir désormais à l’écart de ce grand mouvement religieux. M. Lê Van Trung fut alors désigné par le Grand Maître pour le remplacer ver fin avril.

Les premiers oratoires

. Les séances spirites continuèrent de plus en plus nombreuses chez des particuliers, et principalement dans les oratoires organisés, dans chacun des centres suivants : Cholon-ville, Cân-giuôc, Lôc-giang, Tân-dinh, Thu-duc et Câu-kho. Deux médiums furent affectés à chaque oratoire pour recevoir les enseignements du Grand Maître. L’admission des nouveaux adeptes y fut également décidée. Les adhésions vinrent en masse ; elles s’élevèrent même à plusieurs centaines d’inscriptions nouvelles à chaque séance.

La déclaration officielle du Caodaïsme

La nouvelle religion prit très rapidement de l’extension, tant elle fut reçue avec enthousiasme, surtout par le peuple. Soucieux d’agir au grand jour et de se tenir dans les limites de la plus stricte légalité, ses dirigeants firent une déclaration officielle signée de 28 personnes, qu’ils adressèrent à la date du 7 octobre 1926 à M. le Gouverneur de la Cochinchine. A cette déclaration fut jointe aussi une liste d’adeptes comportant les signatures des 247 adeptes présents à la cérémonie ayant consacré l’existence officielle du Caodaïsme.

La propagande.

Après avoir fait cette déclaration, à laquelle le Gouvernement local avait reversé un accueil courtois, les dirigeants de la  » Grande Voie  » organisèrent des missions de propagande dans l’intérieur.

Celles-ci étaient au nombre de trois, dont une pour les Provinces de l’Est, une pour celles du Centre et une pour celles de l’Ouest.

En moins de deux mois, plus de 20 000 personnes, parmi lesquelles de nombreuses notabilités indigènes, se convertirent à la nouvelle religion. Ce fut grâce au spiritisme, et surtout à l’infinie bonté de Dieu, qui se manifesta toujours à chaque prière invocatoire et dont les messages eurent une influence décisive sur les assistants, que le Caodaïsme doit ces conversions en masse.

Ce grand succès est dû également à la forme du nouveau culte, lequel n’a rien de contraire à ceux des principales religions pratiquées dans le pays.

La fête de l’avènement du Caodaïsme.

Dès le 10ème jour du 10ème mois ( 14 -11-26 ), les tournées de propagande furent interrompues. Tous les efforts des dirigeants furent concentrés sur la fête de l’avènement du Caodaïsme. Celle-ci eut lieu les 14, 15 et 16 du 10ème mois de l’année Binh-Dân ( 18, 19 et 20 novembre 1926 ) dans la pagode Tu-Lâm-Tu, située à Go-ken ( Tây-ninh ). Le Gouverneur Général de l’Indochine, ainsi que le Gouverneur de la Cochinchine et les grands fonctionnaires européens et indigènes y furent invités.

Célébrée avec solennité, cette fête réunit un nombre considérable d’adeptes accourus de toutes les Provinces de la Cochinchine. Elle attira également des milliers de profanes venus en curieux aussi bien qu’en observateurs. La présence de M. le Capitaine Monet, un grand spirite français, y fut également remarquée.

Ce fut pendant cette fête que le Sacerdoce Caodaïste fut institué et que le nouveau Code religieux fut établi et promulgué.

Le siège définitif du Caodaïsme.

Le Tu-Lâm-Tu est une pagode bouddhiste nouvellement construite par le hoà-thuong Giac hai de Cho-gao ( Cho-lon ), qui l’avait affectée à la nouvelle religion à laquelle il avait été converti. Mais après la fête, les fidèles bouddhistes qui avaient fourni les fonds pour l’édification de ce temple et qui n’avaient pas été consultés sur sa désaffectation, réclamèrent son retour à sa destination primitive.

D’autre part, l’expérience avait démontré que cette pagode était trop petite et que le terrain sur lequel elle est bâtie était trop exigu pour permettre d’installer convenablement le Siège de la nouvelle religion naissante, appelée à un grand avenir.

Sur les indications d’un Esprit supérieur, le terrain sur lequel se trouve actuellement le temple provisoire, fut donc choisi et acheté pour y fixer définitivement le Saint-Siège Caodaïque. Situé au village de Long-thành, province de Tây-ninh, il est assez vaste ( 100 ha. environ ) pour répondre aux besoins actuels et futurs.

Restaurants à Ho Chi Minh – Ville

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Ho Chi Minh- Ville

Restaurant LIDO
Adresse: 737 rue Tran Hung Dao, arr. 5
Tél.: 3923 7186 Fax: 3923 4007Spécialisé dans l’organisation de festin de noces
Restaurant Bach Viet
Adresse: 90 rue Mạc Dinh Chi St, arr. 1
Tél.: 3827 5375Spécialisé en festin de noces
Restaurant Beto
Adresse: 57 rue Vo Van Tan, Ward 6, arr. 3
Tél.: 6275 3120/ 7304 5996Cuisine russe et cuisine vietnamienne
Restaurant Bien Dong
Adresse: 357 rue Dien Bien Phu, arr. Binh Thanh
Tél.: 3899 9430Fruits de mer
Restaurant Dai Hy
Adresse: 156 rue Ly Chieu Hoang, Ward 10, arr. 1
Tél.: 3755 3796/ 3755 3797 Fax: 3755 3798Spécialisé dans l’organisation des festins
Restaurant Dat Phuong Nam
Adresse: 82 rue Huynh Tinh Cua, arr. 1
Tél.: 3203 968Fruits de mer et plats de Huê
Restaurant Dep Doi
Adresse: 123 rue Ly Chinh Thang, arr. 3
Tél.: 3846 5482Spécialisé en festin de noces
Restaurant Givral Café
Adresse: 56-66 rue Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3823 2933 Fax: 3824 4229
Restaurant Hoang Long 2
Adresse: 24 rue Khuong Viet, Ward Phu Trung, arr. Tan Phu
Tél.: 3860 4477/ 3860 4499Festin de noces. 500 sièges. Servir de 08:30 à 21:30
Restaurant Hon Rom
Adresse: 6/3C rue Nguyen Son, arr. Tan Phu
Tél.: 3861 0270Fruits de mer
Restaurant Lion
Adresse: 11 – 13 rue Quang Truong Lam Son, arr. 1
Tél.: 3827 5944/ 3823 8514 Fax: 3823 8515Cuisine européenne et asiatique
Restaurant Lotus Court
Adresse: 253 rue Nguyen Van Troi, arr. Phu Nhuan
Tél.: 3844 9222/ 3844 9333Fruits de mers, fast food, spécialités…
Restaurant Lua
Adresse: 2H rue Ho Xuan Huong, arr. 3
Tél.: 3930 3318  ÂHot pot de fruits de mers
Restaurant Phuc An Khang
Adresse: 1 rue Pham Viet Chanh, arr. 1
Tél.: 3925 6163 / 3925 6164 Fax: 3925 7106Cuisine asiatique et européenne
Restaurant Quan lau Soa Soa
Adresse: 64 rue Pham Ngoc Thach, Ward 6, arr. 3
Tél.: 3823 1723Hot pot de fruits de mers
Restaurant Truyen Ky
Adresse: 63/21 rue Ly Thuong Kiet, Ward 7, arr. 11
Tél.: 3856 4987Cuisine chinoise, poulet à la vapeur et au sel
Restaurant Van Canh
Adresse: 184 rue Calmette, arr. 1
Tél.: 8294 963 Fax: 8215 710Cuisine européenne et asiatique
Restaurant 7 Ky Quan
Adresse: 12 rue 26, Binh Phu, arr. 6
Tél.: 3755 1577
Restaurant Aulac do Brazia 3
Adresse: 36/19-21 rue Pham Van Nghi Bac, arr. 7
Tél.: 5410 5566 Fax: 5410 5666
Restaurant Buncamita
Adresse: 392 rue Hoang Dieu, arr. 4
Tél.: 3826 8127
Restaurant Coca Express
Adresse: 35-45 rue Le Thanh Ton, arr. 1
Tél.: 6299 1329
Restaurant Coca Express
Adresse: 60 rue Truong Son, arr. Tan Binh
Tél.: 6297 1787
Restaurant Coca Express
Adresse: 126 rue Hung Vuong, arr. 5
Tél.: 2222 0396
Restaurant Indian Mosque
Adresse: 66 rue Dong Du, arr.1
Tél.: 3823 2159

Cuisine européenne

Opera (Park Hyatt Saigon)
Adresse: 2 place Lam Son, Arr.de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3824 1234
Restaurant Amigo
Adresse: 55 – 57 rue Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 0437 Fax: 3829 0437
Restaurant Camargue
Adresse: 191 rue Hai Ba Trung, Arr. de 2, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3824 3148
Restaurant Château
Adresse: 160B rue Tran Hung Dao, Arr.de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3920 0079
Restaurant Dong Du
Adresse: 57 rue Dong Du, arr. 1
Tél.: 3829 5045 Fax: 3829 5047Cuisine française
Restaurant Ga Nuong Phap
Adresse: 354 – 356 rue Vo Van Tan, Ward 5, arr. 3
Tél.: 3835 9852Poulets grillés
Restaurant Gerten Stadt
Adresse: 34 rue Dong Khoi, Arr. de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3822 3623
Restaurant Good morning Vietnam
Adresse: 197 rue De Tham, Arr. de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3837 1894
Restaurant Haniru
Adresse: 19 rue Ngo Van Nam, arr. 1
Tél.: 3822 3406Plats du boeuf importé des États-Unis
Restaurant Hideaway Café
Adresse: 41/1 rue Pham Ngoc Thach, arr. 3
Tél.: 3822 4222Cuisine européenne. 200 sièges. Servir de: 8:00 à 23:00
Restaurant Jaspas
Adresse: 33 rue Dong Khoi, arr. 1
Tél.: 3822 9925/ 3822 9926 Fax: 3822 9930Cuisine européenne
Restaurant La Taverne
Adresse: 76 rue Suong Nguyet Anh, Arr.de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3925 2616
Restaurant Nomad
Adresse: 50 rue Mac Dinh Chi, Ward DaKao, arr. 1
Tél.: 3823 3804 Fax: 3827 3657Cuisine européenne.  200 sièges. Servi de: 6:30 à 23:30
Restaurant Sama
Adresse: 35 rue Dong Du, Arr. de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3822 4814
Restaurant Diep Pho
Adresse: 12L rue Nguyen Quang Bich, arr. Tan Binh
Tél.: 3849 8512Cocktail et Mocktail
Restaurant Duc Bao
Adresse: 34 rue Dong Khoi, arr. 1
Tél.: 3822 3623
Restaurant Hoa Tulip
Adresse: 92 rue Cach Mang Thang 8, arr. 3
Tél.: 3930 7415Cuisine européenne et asiatique
Restaurant Long Phung
Adresse: 120 rue Ha Noi, arr.9
Tél.: 3893 1749 Fax: 6280 9035Buffet, Barbecue et Cocktail
Restaurant River View
Adresse: Bâtiment Miss Aodài, 21 Nguyen Trung Ngan St., Dist. 1
Tél.: 39106488/ 39102243 Fax: 39106489Cuisine européenne et asiatique
Restaurant Seoul Garden
Adresse: 208 rue Nam Ky Khoi Nghia, arr. 3
Tél.: 6299 1936
Restaurant Vasta
Adresse: Gemadept Tower, 6 rue Le Thanh Ton, arr. 1
Tél.: 3824 5438 Fax: 3854 2439Buffet
Restaurant Villa FB
Adresse: 79 rue Suong Nguyet Anh, arr.1
Tél.: 6290 6571

Cuisine asienne

Restaurant 79 Hoa Binh
Adresse: 3D rue Hoa Binh, Ward 3, arr. 11
Tél.: 3963 8272 Fax: 3963 8273E-mail: [email protected]
Website: www.nhahang79.com
Restaurant Dam Sen Floating
Adresse: 3 rue Hoa Binh, Dist. 11, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 39612082/ 39612144 Fax: 3963 1871
E-mail: [email protected]
Website: www.thuytadamsen.com.vn
Restaurant Hoa Vien Phong Lan
Adresse: 215C rue Ly Thuong Kiet, Dist. 11, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3864 9895 – 3865 9896E-mail: [email protected]
Website: www.nhahangphonglan.com.vn
Restaurant A Dong Dai Tuu Lau
Adresse: 22-23 rue Hai Thuong Lan Ong, arr. 5
Tél.: 3855 7737Cuisine chinoise
Restaurant Arirang KaTun
Adresse: 17 rue Hoang Viet, Arr. de Tan Binh, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3844 6023
Restaurant Ashoka
Adresse: 17/10 rue Le Thanh Ton, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3823 1372
Restaurant Buffet Asian Food
Adresse: 8 rue Dong Khoi, arr. 1
Tél.: 3824 5794Plats des pays de l’ASEAN
Restaurant Café Givral
Adresse: 169 rue Dong Khoi, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 2747 Fax: 3824 2750
Restaurant Com Xanh
Adresse: 6 rue Thai Van Lung, Ward Ben Nghe, arr. 1
Tél.: 3825 7376 Fax: 3829 4429Cuisine vietnamienne. 400 sièges. Servir de: 06:00 à 22:30
Restaurant Dong Khanh
Adresse: 2 rue Tran Hung Dao B, arr. 5
Tél.: 3923 6404/ 3923 4838 Fax: 3923 6427

Cuisine chinoise
Restaurant Golden Palace
Adresse: 56-66 rue Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 2860 Fax: 3824 4229
Restaurant Hong Phat
Adresse: 475-477 rue Hoang Van Thu, Ward 4, arr. Tan Binh
Tél.: 3811 5841Riz au poulet hongkongais
Restaurant Hu tiu Hong Phat
Adresse: 389-391 rue Vo Van Tan, Ward 5, arr. 3
Tél.: 3839 0187Nouille de riz de Nam Vang. 100 sièges. Servir de 06:00 à 24:00
Restaurant Jollibee
Adresse: A43 rue Truong Son, Arr. de Tan Binh, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3848 6585
Restaurant Korea Hana
Adresse: 8 rue Cao Ba Quat, arr. 1
Tél.: 3829 5588Cuisine coréenne.  200 sièges. Servir de: 9:30 à 23:00
Restaurant Lau Nuong Thai
Adresse: 14 rue Ba Huyen Thanh Quan, arr. 3
Tél.: 3930 5631Cuisine thaïlandaise
Restaurant Long Hai
Adresse: B3 – Vincom center, 70-72 rue Le Thanh Ton, arr. 1
Tél.: 3993 9279 Fax: 3993 9278Fruits de mer et hotpot
Restaurant Malee Thai
Adresse: 37 rue Dong Du, Arr. de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 3029
Restaurant Mi Nhat
Adresse: 27/5 rue Nguyen Binh Khiem, Ward Da Kao, arr. 1
Tél.: 3910 0807Pâtes japonaises
Restaurant Nha Do
Adresse: 79 rue Ngo Thi Nham, arr. 3
Tél.: 3933 3399 Fax: 3930 7388Fruits de mer importés de Singapour
Restaurant Sai Gon Indian
Adresse: 73 rue Mac Thi Buoi, arr. 1
Tél.: 3824 5671cuisine indienne
Restaurant Sake Thuong Hai
Adresse: 890 rue Tran Hung Dao A, arr 5
Tél.: 1916 6662
Spécialiste de plats: Hongkong, Shanghai, Guangdong et de spécialité du Vietnam.
Restaurant Sushi Express
Adresse: 106 rue Nguyen Hue ( Lau 1), arr. 1
Tél.: 6210 4168 Fax: 3823 1617Cuisine japonaise, en particulier Sushi Buffet
Restaurant Sushi Shop
Adresse: 151 rue Đong Khoi ( lau 1 ), arr.1
Tél.: 3823 4910cuisine japonaise
Restaurant Temps
Adresse: 47 rue Nguyen Hue, Ward Ben Nghe, arr. 1
Tél.: 3914 3902/ 3821 8051 Fax: 3914 3902Cuisine Vietnamienne
Restaurant Yeebo
Adresse: 1 rue Le Thanh Ton, Arr. de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3823 0368 Fax: 3823 0388
Aiya
Adresse: 274 rue Cao Thang, arr. 10
Tél.: 2216 9313Cuisine asiatique
Restaurant Cham Charm Gallery cuisine
Adresse: 2 Phan Van Chuong St., Dist. 7
Tél.: 5410 9999

 

Hôtels à Ho Chi Minh – Ville

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Ho Chi Minh- Ville

Hôtel Golden Central, Sai Gon
Adresse: 140 rue Ly Tu Trong, Arr. de Ben Thanh, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3827 0666/ 3827 0578 Fax: 3827 0566/ 3827 0093
Website: www.goldenhotelsaigon.vn
Hôtel Duc Vuong 2
Adresse: 348 Cao Thang st , Arr.de10, HCM Ville
Tél.: 3868 3751, 3868 3752 Fax: 3868 3753Website: www.ducvuonghotel2.com
Hôtel Ngoc Lan
Adresse: 293 rue Ly Thuong Kiet, Arr. 11, H?i Minh Ville
Tél.: 38655928 Fax: 38655927
Website: www.ngoclanhotel.com.vn
Hôtel Phu Tho
Adresse: 915 rue Ba Thang Hai, Arr. 11, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3855 1310/ 3855 1309 Fax: 38551255
Website: www.phuthohotel.com.vn
Hôtel Asiana Sai Gon
Adresse: Carrefour entre rue Hai Ba Trung et Le Duan, arr. 1
Tél.: 3520 9999 Fax: 3520 9955
Hôtel Caravelle
Adresse: 19, Place Lam Son, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38234999 Fax: 38243999
Hôtel Equatorial
Adresse: 242 rue Tran Binh Trong, Arr. 5, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3839 7777 Fax: 3839 0011
Hôtel Legend Saigon
Adresse: 2A-4A rue Ton Duc Thang, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3823 3333 Fax: 3823 2333
Hôtel Majestic Saigon
Adresse: 1 rue Dong Khoi, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 5517/ 3829 5514 Fax: 3829 5510
Hôtel Mövenpick Saigon
Adresse: 253 rue Nguyen Van Troi, Arr. de Phu Nhuan, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 8449222 Fax: 8449198
Hôtel New World Saigon
Adresse: 76 rue Le Lai, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38228888 Fax: 38230710
Hôtel Park Hyatt Saigon
Adresse: 2 Place Lam Son, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38241234 Fax: 38237569
Hôtel Renaissance Riverside Sai Gon
Adresse: 8-15 rue Ton Duc Thang, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3822 0033 Fax: 3823 5666
Hôtel Rex
Adresse: 141 rue Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 2185 / 3829 3115 Fax: 3829 6536
Hôtel Sheraton Saigon & Towers
Adresse: 88 rue Dong Khoi, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38272828 Fax: 38272929
Hôtel Sofitel Plaza Saigon
Adresse: 17 rue Le Duan, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3824 1555 Fax: 3824 1666
Hôtel Windsor Plaza Saigon
Adresse: 18 rue An Duong Vuong, Arr. 5, ville de Hô Chi Minh
Tél.: 3833 6688 Fax: 3833 6888
Vu Anh International Hotel Hospital
Adresse: 15-16 rue Phan Van Tri, Arr. Go Vap
Tél.: 3989 4989 Fax: 3989 7338
Hôtel Duxton Saigon
Adresse: 63 rue Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3822 2999 Fax: 3824 1888
Hôtel First
Adresse: 18 rue Hoang Viet, Arr. de Tan Binh, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3844 1199/ 3844 1175 Fax: 3844 4282
Hôtel Grand
Adresse: 8 rue Dong Khoi, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38230163/3955555 Fax: 38235781/3827 3047
Hôtel Liberty Central
Adresse: 177-179 rue Le Thanh Ton, arr. 1
Tél.: 3823 0028 Fax: 3823 9270
Hôtel Norfolk
Adresse: 117 rue Le Thanh Ton, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 5368 Fax: 3829 3415
Hôtel Oscar Saigon
Adresse: 68A Ave. Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38292959 Fax: 38222958
Hôtel Palace
Adresse: 56-66 Ave. Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38292860 Fax: 38244230
Hôtel Parkroyal Saigon
Adresse: 309B-311 rue Nguyen Van Troi, Arr. de Tan Binh, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3842 1111 Fax: 3842 4370
Hôtel Ramana
Adresse: 323 rue Le Van Si, Arr. de 3, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3843 9999 Fax: 3843 8888
Royal Hotel Saigon ( Kimdo Hotel)
Adresse: 133 Ave. Nguyen Hue, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3822 5914/ 3822 5915 Fax: 3822 5913
Bong Sen Hôtel Saigon
Adresse: 117-123 rue Dong Khoi, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3829 1516 Fax: 3829 8076
Bong Sen Yamachi (Pastel Inn)
Adresse: 99 rue Pasteur, Arr. de 1
Tél.: 3823 2566 Fax: 3822 8242
Hôtel A&Em 39 Thu Khoa Huan
Adresse: 39 – 39A – 41 rue Thu Khoa Huan, arr. 1
Tél.: 3823 9292 / 3823 3449 Fax: 3823 2351
Hôtel Arc En Ciel
Adresse: 52-56 rue Tan Da, Arr. 5, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3855 4435 Fax: 3855 2424
Hôtel Au Lac
Adresse: 90 rue Nguyen Thi Minh Khai, Arr. 3, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 5404 1198 Fax: 5404 1203
Hôtel Au Lac 2
Adresse: 87-89-91 rue Ho Tung Mau, arr. 1
Tél.: 6295 9114 Fax: 62959144
Hôtel Bat Dat
Adresse: 238-244 rue Tran Hung Dao, Arr. 5, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3855 1662 Fax: 3855 5817
Hôtel Bel Ami
Adresse: 170 rue Ly Thuong Kiet, arr. Tan Binh
Tél.: 3864 1128 Fax: 3863 5211
Hôtel Blue Dimond
Adresse: 48-50 rue Thu Khoa Huan, arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3823 6167 Fax: 3823 6168
Hôtel Chancery Saigon
Adresse: 196 rue Nguyen Thi Minh Khai, Arr. 3, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 6296 1954 Fax: 3948 3415
Hôtel Dai Nam
Adresse: 79 rue Tran Hung Dao, arr. 1, ville Hô Chi Minh
Tél.: 3824 2525 Fax: 3824 2542
Hôtel Dong Khanh
Adresse: 2 rue Tran Hung Dao, Arr. 5, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3923 6424/ 3923 6404 Fax: 3923 6427
Hôtel Dong Kinh
Adresse: 102/4 – 106 – 108 rue Tran Tuan Khai, Arr.de 5, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 39244614 Fax: 39244051
Hôtel Elios
Adresse: 233 rue Pham Ngu Lao, arr.1, Ville Ho Chi Minh
Tél.: 3838 5585 Fax: 3838 5583
Hôtel Family Inn
Adresse: 84A rue Bui Thi Xuan, arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3925 7458 Fax: 3925 7462
Hôtel Hoang Hai Long (Dragon)
Adresse: 52B-62-64 rue Pham Hong Thai, arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3824 5888/ 3828 2888 Fax: 3825 8269/ 3827 2158
Hôtel Hoang Hai Long 2
Adresse: 28-30 rue Nguyen An Ninh, arr. 1
Tél.: 3823 2999 Fax: 3824 4986
Hôtel Hoang Ngan
Adresse: 29-31 rue Bui Thi Xuan, arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3925 1880/ 3925 1879 Fax: 3925 1881
Hôtel Hoang Phu Gia
Adresse: 19C rue Bui Thi Xuan, arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3925 2555/ 3925 9342 Fax: 3925 9343
Hôtel Hong Thien Loc
Adresse: 287-289 rue Pham Ngu Lao, arr. 1, Hô Chi Minh ville
Tél.: 3838 6972/ 3838 6973 Fax: 3838 6975
Hôtel Hong Vy
Adresse: 223 rue Hai Ba Trung, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3820 3117 Fax: 3820 3116
Hôtel Huong Sen
Adresse: 66-70 rue Dong Khoi, Arr. 1, HCM Ville
Tél.: 3829 1415 Fax: 38290916
Hôtel Kelly
Adresse: 42 – 44 rue Thu Khoa Huan, Arr N01, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 3823 3364 Fax: 3823 3367
Hôtel Kingston
Adresse: 52-54 rue Thu Khoa Huan, arr. 1, ville Hô Chi Minh
Tél.: 3824 5588 Fax: 3824 5577
Hôtel Lan Lan 1
Adresse: 73 -75 rue Thu khoa Huan St., arr.1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38236789 Fax: 38273838
Hôtel Lan Lan Group
Adresse: 46 rue Thu khoa Huan St., arr.1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38227926/ 39250159 Fax: 38227925.
Hôtel Lavender
Adresse: 208-210 rue Le Thanh Ton , Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 64042828 Fax: 64042929
Hôtel Le Duy
Adresse: 18-20 rue Nguyen Thi Nghia, arr. 1
Tél.: 3925 2090/ 3925 2177 Fax: 3925 2098
Hôtel Liberty 1
Adresse: 167 rue Hai Ba Trung, Arr. 3, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38294227 Fax: 38290919
Hôtel Liberty 3
Adresse: 187 rue Pham Ngu Lao, Arr. 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38369522 Fax: 38364557
Hôtel Liberty 4
Adresse: 265 rue Pham Ngu Lao, Arr. de 1, Hô Chi Minh Ville
Tél.: 38364556/ 39141926 Fax: 38370778/ 39141927
Hôtel May
Adresse: 28-30 rue Thi Sach, arr. 1, Ville Hô Chi Minh
Tél.: 3823 4501 Fax: 3823 4502

 

Parc culturel de Dam Sen

Parc culturel de Dam Sen

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Ho Chi Minh- Ville

Parc culturel de Dam SenLieu: 03 rue Hoa Binh, Arr. 11, Hô Chi Minh Ville

Le Parc culturel de Ðầm Sen est le plus grand et le plus moderne parc d’attraction du Viêtnam. Il est le point d’interférence entre les architectures des deux cultures  originales de l’Orient et de l’Occident. Le Jardin royal de Nam Tú Thýợng Uyển est imprégné de parfum oriental avec ses plantes et ses fleurs d‘ornement à l’ancienne, les bonsais, les chutes d’eau… exactement comme un jardin de roi, un jardin rassemblant des espèces d’orchidées les plus connues. De l’autre côté du lac s’étend le jardin à fleurs à l’européenne et une Place Romaine.
Parc culturel de Dam Sen est une attraction alléchante pour tout public avec des jeux comme voiture-tampon, roller coaster, monorail, traversée du lac par cable, franchissement d’une chute d’eau haute de 12m, balançoire de 60m, guignols sur l’eau, patins à roulettes etc… Il est doté aussi de nombreux ouvrages dignes d’être visités comme la Maison de la Lumière et de la Glace, la Maison du Cactus, la Ferme aux Crocodiles, la Ferme aux Serpents, Thạch Thủy Cầm (jardin aux animaux aquatiques en pierre), le jardin aux oiseaux et animaux… Ses visiteurs ont aussi l’occasion de se divertir avec des spectacles de variétés ou de théâtre chanté traditionnel, organisés chaque soir avec de nombreux artistes de renom. À souligner le spectacle de Musique d’Eau alliant un système de projection de lumière laser sur écran d’eau, de fontaines, avec le son et la lumière, créant ainsi des effets grandioses, somptueux et impressionants.

Le parc de Ðầm Sen est aussi un endroit où sont organisés des événements touristique, culturel, artistique traditionnels de Hồ Chí Minh ville et du Vietnam, attirant un grand nombre de touristes locaux et étrangers

Le parc Dam Sen

Le parc Dam Sen Saigon

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Ho Chi Minh- Ville

Situation: Le parc Dam Sen Saigon est situé dans le onzième district de Ho Chi Minh ville et se trouve à l’intersection des rues Lac Long Quan et Hoa Binh.
Caractéristique: Le parc Dam Sen est divisé en 30 secteurs qui comprennent des restaurants, des salles de spectacles et plusieurs autres activités.
Le parc Dam Sen

Le parc Dam Sen Saigon

Si vous avez le temps libre, N’hesitez pas à faire un tour au parc Dam Sen! Il se compose d’un étang avec tout un tas d’attractions autour. L’entrée est de 45 000 Dongs (environs 1,5€) pour un adulte le weekend! Vous pourrez vous y rendre en taxi ou en moto. Preparez votre maillot de bain pour vous éclater dans le « Dam Sen Water Park« .

Le « Dam Sen Water Park » (80 000 Dongs l’entrée, en plus de l’entrée du parc)

L e parc Dam sen de hochiminh ville, c’est un parc propose beaucoup d’attractions aquatiques. Entre la descente en toboggan à pleine vitesse, la tyrolienne, la descente en bouée dans le noir complet (à faire absolument) et le fameux Twistter (descente à fond, virage à 90° et atterrissage dans un entonnoir avant de retomber dans la piscine). Les amateurs d’adrénaline vont être aux anges!

Rassurez vous! Pour ceux qui aime la tranquilité, le parc aquatique dispose d’une pataugeoire pour les enfants, d’un bassin pour nager et d’un bassin avec vagues artificielles.

Les visiteurs peuvent voir une reproduction miniature de la pagode Giac Vien, le restaurant flottant Thuy Ta, une scène pour les marionnettes sur l’eau, un parc d’oiseaux, le jardin royal Nam Tu ainsi qu’un lac qui ressemble au lac de l’Ouest de Hanoi.

Le jardin botanique et zoologique

Le jardin botanique et zoologique

Ecrit par Guide francophone vietnam sur . Publié dans Ho Chi Minh- Ville

Le jardin botanique et zoologiqueSituation: Le jardin botanique et zoologique est situé à 2, rue Nguyen Binh Khiem, arrondissement 1, Hô Chi Minh-Ville.
Caractéristique: Le botaniste français J.B.Louis Pierre a fondé Le jardin botanique et zoologique de Hô Chi Minh-Ville en 1865 sur un terrain de 20 hectares.

Le zoo comprend plus de 520 animaux appartenant à 120 espèces différentes. Le jardin botanique et zoologique compte 1 830 plantes et arbres dont quelques uns ont plus de cent ans. Parmi les 260 espèces de végétaux du jardin botanique, il y a entre autres 20 variétés d’orchidées, 32 variétés de cactus et 34 variété de bonsaï. Des millions de touristes visitent le zoo et le jardin à chaque année; ils sont ravis par la flore et la faune de la région. Le jardin botanique et zoologique de Hô Chi Minh-Ville fait partie de l’Association zoologique de l’Asie du sud-est