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Le Jardin botanique de Sài Gon

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Le Jardin botanique de Sài Gon: Fondé en 1864, le Jardin zoologique et botanique de Sài Gon, l’un des dix plus anciens jardins zoologiques et botaniques du monde, attire toujours de nombreux visiteurs vietnamiens comme étrangers.

piscine et parc Ho Chi Minh ville

En plein centre de Hô Chi Minh-Ville dans le premier arrondissement, couvrant 17 ha, le Jardin zoologique et botanique de Sài Gon (Thảo Cầm Viên Sài Gòn en vietnamien) héberge à ce jour 947 animaux de 125 espèces dont une centaine de reptiles, mammifères et oiseaux, 2.459 arbres de 1.000 espèces et une grande variété d’orchidées, de cactus, de bonsaïs et de plantes ornementales qui font sa réputation.

L’entrée principale du Jardin zoologique et botanique de Sài Gon.L’entrée principale du Jardin zoologique et botanique de Sài Gon.

Pour rendre hommage au dévouement des premiers employés du jardin, il faut remonter à l’époque coloniale.

Parc Tao Dan

Histoire du jardin

C’est l’amiral-gouverneur de l’Indochine, Pierre-Paul de la Grandière, qui a décidé de construire ce jardin le 10 juin 1863. Il avait pour ambition d’en faire un lieu d’élevage, de culture, de conservation et d’études de la faune et la flore pour les scientifiques de l’Indochine. Un an plus tard, Pierre-Paul de la Grandière invita Jean-Baptiste Louis Pierre, un botaniste réunionnais, directeur en chef du Jardin zoologique et botanique de Calcutta, à devenir le 28 mars 1865 le premier directeur du Jardin zoologique et botanique de Sài Gon.

Les visiteurs affluent surtout le week-end et en été.Les visiteurs affluent surtout le week-end et en été.

Au début, le parc s’étendait sur 12 ha. En 1865, les premiers animaux arrivèrent et on commença à semer des plantes. Fin 1865, le jardin continua de s’étendre pour passer à 20 ha puis 33 ha en 1924.

En 1867, le gouvernement français accorda un budget annuel de 21.000 francs pour sa gestion, puis de 30.000 francs en 1869. À cette époque, le parc comptait 509 animaux dont 120 mammifères, 344 oiseaux et 45 reptiles. Les botanistes français y plantèrent également des acajous du Sénégal, des Antilles, des baobabs d’Afrique…

Une des cinq destinations préférées de la ville

Parc Saigon

En 2012, le Jardin zoologique et botanique de Sài Gon a été répertorié dans la liste des cinq destinations de choix de la ville. Un classement de la population locale établi lors du programme « Cent choses intéressantes », organisé par le Comité populaire municipal.

Selon Pham Anh Dung, directeur adjoint du jardin, beaucoup de plantes et d’animaux sont rares, et certains sont menacés à l’échelle mondiale. Parmi eux : chat de Temminck (ou chat doré), éléphant d’Asie (un mâle et cinq femelles), rhinocéros blanc, girafe, hippopotame, zèbres, tigres d’Inde et d’Indochine, lion, orang-outan, etc.

Mais l’animal le plus emblématique du jardin est un oiseau très difficile à observer dans la nature : l’Argus ocellé (Rheinardia ocellata), une espèce de faisan dont la queue atteint 235 cm chez le mâle. «Cette espèce, discrète et rare, vit dans les forêts du Vietnam, du Laos et de Malaisie. Elle est menacée de disparition», a précisé Pham Anh Dung.

En outre, plus de 40 espèces botaniques rares et précieuses ont été ajoutées plus tard par les botanistes vietnamiens. On peut citer les légumineuses câm lai (Dalbergia oliveri), giang huong (Pterocarpus macrocarpus), godo (Afzelia xylocarpa), et l’arbre à encens trâm huong (Aquilaria crassna)…

Le jardin accueille quotidiennement des centaines de visiteurs, voire des milliers en fin de semaine. Ils y vont pour admirer tout ce bestiaire et aussi échapper à la touffeur de l’été.

Le nombre de visites ne cesse d’augmenter d’année en année. En 2011, le parc a accueilli 1,9 million de visiteurs. En 2012, 2,1 millions.

Parc de Ho Chi Minh Ville

Avec les parc Tao Dàn, parc 26 Mars, parc 30 Avril, parc Lê Van Tam et parc Lê Thi Riêng, ce jardin est considéré comme un des poumons verts de la ville.

Conservation et éducation à la nature

En 1989, le Jardin zoologique et botanique de Sài Gon est devenu membre de l’Association panafricaine pour les jardins zoologiques, aquariums et jardins botaniques (South East Asian Zoos Association, SEAZA) et, en 2012, membre de l’Association mondiale des zoos et des aquariums (World Association of Zoos and Aquariums, WAZA).

En plus, le parc met en œuvre régulièrement des programmes de formation sur la gestion et l’aménagement des zoos, en coopération avec le Centre de prospective et d’études urbaines de la Région Rhône-Alpes. En vertu d’un contrat de coopération signé avec le centre Paddi, des botanistes et zoologues français apportent des assistances techniques.

En 2012, le jardin a importé plus de six lémuriens supplémentaires, deux cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus), un primate de l’Ancien Monde qui tire son nom de l’explorateur français Pierre Savorgnan de Brazza et cinq saïmiris, de minuscules singes.

« Cette année, nous prévoyons d’introduire deux ou trois girafes supplémentaires », a informé le directeur adjoint Pham Anh Dung.

parc Hoang Van Thu a Ho Chi Minh ville.

Actuellement, le Comité populaire municipal et la direction du Jardin zoologique et botanique de Sài Gon ambitionnent de fonder dans la commune d’An Nhon Tây, district suburbain de Cu Chi, un autre parc animalier. D’une superficie de 456 ha, cette zone deviendrait un parc zoologique et botanique important en Asie du Sud-est ouvert à tous. Un contingent de 380 employés du jardin travaille avec d’autres experts sur la mise en chantier de ce projet.

D’autre part, le Comité populaire municipal a confié au Jardin zoologique et botanique de Sài Gon la mission de créer l’Association des jardins zoologiques du Vietnam.

La sculpture de racines de bambou

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La sculpture de racines de bambou: Nguyên Dinh Hoa, domicilié dans la province de Quang Tri (Centre), nourrit une grande passion pour les racines de bambou, dont les formes l’inspirent. C’est à partir de ces parties végétales rugueuses qu’il taille des œuvres originales.

Les status de racines de Bambou

Nguyên Dinh Hoa est à la retraite depuis une vingtaine d’années. À la différence de bien d’autres retraités qui ne savent que faire de leurs journées, M. Hoa est occupé du matin au soir. Sa passion : dénicher des racines de bambou aux formes fantasques pour les transformer en sculptures originales. «L’image du bambou est très familière aux Vietnamiens. Elle est si familière que personne n’a l’idée d’admirer les racines. Et pourtant, pour qui sait regarder, ces racines sont très inspirantes. On peut y voir beaucoup de choses», constate M. Hoa. La maison de l’octogénaire déborde de racines, brutes ou sculptées. Sa femme s’est plainte maintes fois de l’envahissement du domicile conjugal par ces «beautés» végétales. L’artiste entrepose ces matières premières brutes dans un hangar mais celles qui ont été sculptées ont le privilège de trôner dans le salon ou dans les endroits les plus visibles de la maison.

Visiter Les status de racines de Bambou

Fier de ses racines

M. Hoa a une centaine d’«œuvres d’art» de toutes formes et de toutes tailles. On y voit de vieux hommes, des génies, des bambins, les trois divinités «Longévité -Prospérité – Bonheur», des oiseaux, des cerfs-cochons, etc. Il photographie toutes ses créations et classe les clichés dans un album. Chaque fois qu’un ami vient le voir, il présente ses photos et l’emmène faire un tour de sa maison pour admirer ses nouvelles œuvres. «Ce loisir n’est pas coûteux mais nécessite beaucoup de temps, tant pour la recherche des matières premières que pour la sculpture elle-même», explique M. Hoa.

Les habitants locaux ont l’habitude de le voir partir de bon matin à vélo et revenir à la tombée de la nuit, le porte-bagages chargé de racines. L’octogénaire fréquente les zones rurales où subsistent de beaux linéaires de bambou, par exemple le long du fleuve Thach Han. Parfois, s’il se sent en forme, il s’aventure en dehors de sa province.

M. Hoa présente l’une de ses créationsIl raconte un souvenir : «Un jour, chez un ami, des racines de bambou brûlaient dans le fourneau à bois. Séduit par leur forme bizarre, je les ai retirées immédiatement du foyer, devant les yeux stupéfaits de mon ami. Mais grâce à ces racines à demi brûlées j’ai pu créer des sculptures inattendues». M. Hoa considère cet «art» comme une partie importante de sa vie. C’est pourquoi cette année, malgré son âge avancé et sa santé chancelante, il poursuit sa quête de matières premières.

Un artiste polyvalent

Nguyên Dinh Hoa a aussi réalisé une dizaine de tableaux en petits coquillages. Ce travail lui demande de la minutie car il doit en collecter des milliers. Ses sujets préférés : le mausolée de l’Oncle Hô, son pays natal, etc.

L’art de Sculpture sur latérite

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L’art de Sculpture sur latérite: En plein midi, des hommes de la commune de Binh Yên, district de Thach Thât (banlieue de Hanoi) sculptent un grand nombre de blocs de latérite. Des œuvres d’une valeur et d’une durée éternelles.

La porte de la maison commune de l’hameau de Yên My a été construite en latérite

Depuis de nombreuses années, la commune de Binh Yên est reconnue pour ses sculptures de latérite. Un travail manuel mais aussi et surtout très physique qui est exercé en plein air. Pour tailler la latérite, un louchet est indispensable.

«C’est un travail pour des gens qui n’ont pas peur du labeur et qui ont le sens de l’esthétique. Quelques uns de mes élèves doivent me quitter parce que leur talent n’est pas suffisant» confie Nghiêm, un artiste qualifié.

Nông, un sculpteur de 50 ans, explique qu’il faut désormais perdre deux journées à creuser un puit de latérite à un salaire quotidien de 200.000 dôngs. Ce sont les ouvriers qualifiés qui se chargent de sculpter.

l’artiste qualifié Nghiêm peux sculpter deux éléphants

«Chaque mois, je peux sculpter deux éléphants de 1,5 m de haut et de 2,5 m de long, qui sont vendus plus de 50 millions de dôngs la pièce», a-t-il ajouté.

«Il n’existe pas d’école qui forment à ce métier. Ainsi, toutes les vignettes sont peintes à partir des imaginations et expériences des artistes» déclare l’artiste Nghiêm.

D’après Huân, un ancien du métier de 85 ans, les habitants de cette localité ont pour habitude depuis longtemps de construire maison et clôture avec de la latérite car celle-ci a une vie éternelle.

les vignettes sont peintes à partir des imaginations et expériences des artistes

La porte de la maison commune de l’hameau de Yên My dans le district de Binh Yên a été construite en latérite pour un coût de plus de 100 millions de dôngs, soit le quadruple d’un ouvrage en pierre ordinaire.

Aujourd’hui, les gisements de latérite de Binh Yên s’épuisent de plus en plus, suivis de la réduction du nombre de tailleurs. Seules quelques personnes passionnant la sculpture de latérite qui sont prêts à s’engager à ce métier pénible.

culptures de latérite, un travail manuel,  physique qui est exercé en plein air

Spécialité Com lam traditionnelle des Muong

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Spécialité Com lam traditionnelle des Muong : Depuis Hanoi, prenez la nationale 6, parcourez une centaine de kilomètres et vous voilà dans le district de Kim Bôi, province de Hòa Bình, où résident essentiellement des Muong. L’originalité et la richesse de ses cultures font aujourd’hui cette région l’une des destinations favorites des touristes. En visitant cette région, vous aurez non seulement l’occasion d’admirer les traditionnelles maisons sur pilotis, mais aussi de goûter l’une des spécialités locales : le com lam.

Spécialité Com lam des Muong

Selon les personnes âgées, les Muong du district de Kim Bôi vivaient auparavant de l’exploitation forestière. Chaque jour, ils y travaillaient du matin au soir, et parfois même la nuit, du sel ou du riz en guise de vivres.

En raison de manque d’ustensiles, ils cuisaient le riz gluant dans un tronçon de bambou appelé com lam. De là vient cette spécialité. Le riz gluant est tassé dans des tronçons de jeunes bambous de 20 à 30 cm bouchés à une extrémité et sectionnés à l’autre, puis le tout est grillé sur le feu jusqu’à ce que l’écorce se calcine.

Cette partie carbonisée est retirée lors du repas, mais l’on conserve l’intérieur blanc du bambou entourant le riz. Le tronçon de com lam parfumé est alors coupé en morceaux et se déguste froid. Il peut être servi avec du poulet, du porc rôti, des pousses de bambou fermentées encore du sésame au sel.

Spécialité Com lam des Muong au feu

Selon les us et les coutumes des Muong à Hoà Binh, les hommes sont chargés de faire la cuisine. Pourtant, le com lam est un plat cuisiné par tous les membres de la famille.

Aujourd’hui, bien que les conditions de vie des Muong se soient améliorées, le com lam a encore une place privilégiée dans les repas et est devenu la spécialité traditionnelle la plus appréciée des touristes.

Pour des centaines de foyers proches des zones touristiques, le com lam est d’un grand intérêt économique. Celui-ci est servi aux touristes, comme par exemple à la source thermale de Kim Bôi, sur le site Cuu Thac Tu Son (neuf chutes d’eau), ou encore à Thac Mat Troi (chute d’eau du soleil).

Bui Thi Diên et sa famille sont des commerçants de com lam reconnus dans la commune de Ha Bi, où se trouve la source thermale de Kim Bôi. Depuis son ouverture au tourisme, ce site attire de plus en plus de visiteurs. Chaque jour, Mme Diên affirme vendre en moyenne 200 tronçons de com lam, pour 5.000 dôngs chacun. En outre, elle a reçu des commandes des restaurants de la province de Hoà Binh, et même de Hanoi. Ce commerce lui rapporte ainsi autour de 100 millions de dôngs par an.

Preparez le spécialité Com lam des Muong

Tout en contribuant à la diversité de la cuisine Muong, le com lam participe ainsi aujourd’hui à faire connaitre et à exporter la richesse de cette culture Muong de Hoa Binh, et tout particulièrement celle des Muongs du Kim Bôi.

Le Sanctuaire de My Son

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Le Sanctuaire de My Son – Une Trace De La Civilisation Du Champa: Situé à 69 km au sud – ouest de Da Nang,  le sanctuaire de My Son,  est une ancienne capitale du Champa du 4e au 12e siècle. My Son est un ensemble architectural remarquable qui regroupe 70 temples chams hindouistes. Il symbolise le mont Meru, le royaume de Shiva. Ce site est unique et évoque la vie spirituelle et politique d’une étape importante de l’histoire du Sud – Est d’Asie.

une trace de la civilisation du Champa

L’histoire de My Son.

Au IVe siècle, My Son a édifié pour le culte du lingam de Bhadresvara, un dieu dont le nom combinait celui de Shiva et du roi. Un incendie au VIe siècle a ravagé ce site et Sambhuvarman a reconstruit un temple en pierre et en brique au VIIe siècle. Les tours et les tombes ont été principalement construites entre les VIIe au XIVe siècle. Tout au long de son histoire, ce sanctuaire a subi des endommagements. En particulier, des bombardements américains pendant la guerre du Vietnam ont détruit une grande partie de ce vestige.

Les temple du Champa a My Son

Architecture originale du sanctuaire de My Son

Le sanctuaire de My Son est un ensemble d’architecture remarquable et le plus important de la civilisation de My Son. L’architecture de My Son est influencée par le bouddhisme. Les tours présentent une variété de dessins architecturaux symbolisant la grandeur et la pureté du Mont Méru qui est une montagne sacrée mythique, un berceau des dieux hindous au centre de l’univers. Ses tours sont sculptées d’images délicates très expressives: fleurs, feuilles, oiseaux, danseuses Apsara… Ses temples sont construits en brique cuit et en pierre décorées représentant des scènes de la mythologie hindoue. Cette variété architecturale manifeste le talent des artisans Chams. Les oeuvres architecturales et sculpturales sont les moyens pour mieux comprendre la culture des Chams, leur conception de la vie, de l’univers, et de la mort…

 civilisation du Champa

Culte dans les temples à My Son:

L’objet de culte dans les temples principaux était le linga, une pierre dressée qui était une représentation classique de Shiva. Le génie sacré était Bhardresvara, roi fondateur de la région d’Amaravati à la fin du IVe siècle – début du Ve siècle.

temple My Son

My Son – un patrimoine culturel:

Le sanctuaire de My Son est reconnu l’un des plus importants sites archéologiques du Vietnam qui témoigne un échange culturel, une trace de la civilisation du Champa qui a disparu au 15e siècle. Il est ainsi inscrit au patrimoine culturel mondial de l’UNESCO en 1999. Les touristes des 4 coins du monde aiment y venir. Il est donc devenu un lieu incontournable lors d’un voyage au Vietnam.

le temple My Son

Les Cols Du Nord-Ouest du Vietnam

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Les Cols Du Nord-Ouest du Vietnam: La beauté de la région du Nord-Ouest est gravée par “les 4 plus grandioses cols”. Si vous êtes aventureux, vous adorez des merveilleux  montagnes, des rizières à perte de vue, l’authenticité de la vie locale ou simplement, vous vous passionnez pour les photos magnifiques, suivez-moi pour découvrir ensemble “les 4 plus grandioses cols”!

le col du Vietnam

1.    Col de Pha Din (Đèo Pha Đin)

Situé à cheval entre la province de Son La (commune de Phong Lai, district Thuan Chau) et de Dien Bien (commune de Toa Tinh, district Tuan Giao), col de Pha Din est l’un des plus dangereux du Nord-Ouest. Avec la longeur de 32 km, l’altitude culminante de 1648 m et plusieurs détours, le passage est vraiement intéressant et vous donnera l’envie de retour…

Col de Pha Din

2.    Col de Ma Pi Leng (Đèo Mã Pí Lèng)

A 2.000 m d’altitude, Ma Pi Leng (signifie “le nez du cheval) offre des vues imprenables. Le col est sur l’axe portant le joli nom de Duong Hanh Phuc («la route du bonheur») qui relie le plateau de Dong Van et le bourg de Meo Vac. Mi Pa Leng  est reputé des routes sinueuses comme les serpents de la montagne à l’autre. Depuis 2009, ce col a été reconnu comme le Vestige national.

Col de Ma Pi Leng

3.    Col de O Quy Ho (Đèo Ô Quy Hồ)

Avec son 50 km, reliant la province de Lao Cai et de Lai Chau, le col de O Quy Ho bat le record de la longeur de la Région du Nord-Ouest. O Quy Ho est aussi considéré comme le col de Hoang Lien Son (col des nuages). Ce nom O Quy Ho est légendaire du cri affligeant d’un oiseau pour l’amour raté d’un couple…

col de O Quy Ho

4.    Col de Khau Pha (Đèo Khau Phạ)

Situé sur la Route Nationale 32, le col de Khau Pha est entre le district Van Chan et celui de Mu Cang Chai (Province de Yen Bai), traversant plusieurs sites bien connues comme La Pán Tẩn, Mù Cang Chải, Tú Lệ, Chế Cu Nha, Nậm Có…Ne ratez pas ce merveilleux col pour admirer les rizières en terrasses, contempler la beauté de la vallée de Tu Le- une région incroyablement belle. Route des photographes!

Col de Khau Pha

La fête culturelle de l’ethnie Raglai Ninh Thuan

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La fête culturelle de l’ethnie Raglai  Ninh Thuan: Selon le ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme, une fête culturelle de l’ethnie Raglai aura lieu du 29 au 31 août dans le district de Bac Ai, province de Ninh Thuân (Centre).

La fête culturelle de l’ethnie Raglai Ninh ThuanLa fête culturelle de l’ethnie Raglai Ninh Thuan

Avec comme but de préserver les valeurs culturelles de cette ethnie et d’autres ethnies de la région du Centre méridional et de contribuer à promouvoir le développement socioéconomique des localités, cet événement réunira les 4 provinces où vivent les Raglai que sont Ninh Thuân, Khanh Hoa, Binh Thuân et Lâm Dông.

De nombreuses activités sont prévues dont un concours de construction de maisons sur pilotis, des représentations d’arts folkloriques, des expositions sur la promotion du tourisme, ou encore des jeux folkloriques…

En outre, la cérémonie d’ouverture de cette fête verra la participation d’artistes du Théâtre de chant et de danse folkloriques du Viet Bac, du Théâtre de chant et de danse Bien Xanh (province de Ninh Thuan), de troupes artistiques des provinces de Lam Dong, Khanh Hoa et Ninh Thuan.

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