Découverte des maisons en palmier d’eau de Câm Thanh

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Découverte des maisons en palmier d’eau de Câm Thanh: Des petites barques croisées sur les arroyos ombragés par des palmiers, des maisons en chaume, telles sont les images qu’offre Câm Thanh, site très fréquenté des touristes, dans la province de Quang Nam (Centre).
Câm Thanh est une commune située en banlieue de la ville de Hôi An. Doté d’un labyrinthe d’arroyos, le site est le royaume du nypa, genre de palmier d’eau appartenant à la famille des arécacées. Ce palmier caractéristique des estuaires et embouchures marécageuses de l’Asie du Sud-Est a de multiples usages : matériau de construction, vannerie, sève sucrée servant à préparer sucre et alcool, même son amande est parfois consommée.
Si auparavant les nypas jouaient le rôle de brise-vent et de prévention de l’érosion du sol. Au fil du temps, les habitants de Câm Thanh ont appris à l’exploiter de diverses manières. Le nypa produit de grandes feuilles pennées pouvant atteindre une longueur de neuf mètres. Les habitants de Câm Thanh les utilisent pour recouvrir les maisons, comme matériau pour la construction des habitations ou encore pour la production de biens artisanaux comme les paniers.
Un métier datant du XIXe siècle
D’après les anciens de la commune, le métier de constructeur de maisons en nypas date du XIXe siècle. L’artisan Trân Bua, 75 ans, se souvient : «J’ai appris à construire des habitations en palmier d’eau à l’âge de 12 ans. Je suis la 4e génération de ma famille à pratiquer ce métier». Il y a cinq ou six ans, le métier n’avait la cote qu’au sein de la commune et des régions rurales avoisinantes mais ces dernières années, avec le développement du tourisme dit «écologique», les palmiers d’eau, respectueux de l’environnement, ainsi que leurs artisans, occupent une place de choix.

un labyrinthe d’arroyos, la commune de Câm Thanh
Les artisans de Câm Thanh, sont invités par les investisseurs des zones touristiques, des villégiatures ou encore des restaurants à construire des bungalows, des parasols ou des maisons en chaume, leur permettant par la même occasion de voyager partout : Dà Nang, Huê, Quang Ngai, Dak Lak (Centre) et même à Quang Ninh ou Hai Phong (Nord).
«Beaucoup d’entre nous reçoivent des commandes ou des invitations à fabriquer des parasols ou des maisons en feuilles de nypa pour les cafés, les restaurants et même les hôtels de luxe situés au bord de la mer. Ces établissements ont trouvé le moyen de donner à leurs ouvrages un peu d’originalité pour impressionner les touristes qui préfèrent les endroits écologiques», explique Dinh Xê, un artisan.
Cinq mois de construction
Pour faire une maison entièrement en palmier d’eau, les artisans doivent suivre plusieurs étapes complexes : depuis la cueillette des tronçons ou des feuilles vertes jusqu’au traitement de ceux séchés, pour finir par la formation des formes désirées : chaume, mûr, etc.
Chaque année, les tronçons et les feuilles de nypa sont récoltés aux premier et sixième mois lunaires. Après l’abattage, ils séparent les folioles des pétioles. Les folioles servent à la fabrication du chaume, les pétioles à celle des mûrs. Les folioles et les pétioles seront rassemblés en poignées, puis séchés en plein soleil. Elles macéreront ensuite dans l’eau salée pour éviter les moisissures.

Un ouvrage en construction
Lê Ly, 53 ans, précise que pour construire une belle maison en palmier d’eau, les étapes les plus difficiles sont de tresser les feuilles séchées pour avoir des chaumes de bonne qualité et de fabriquer des tenons de bambous. Chacun est taillé selon la forme d’une gousse d’ail. Il faut des artisans expérimentés pour avoir des tenons de belle forme. «L’art de construction des maisons ne suit aucun principe, sa réussite dépend de l’expertise, de l’expérience et du talent des artisans», explique M. Ly.
La maison géante en palmier d’eau de Câm Thanh, créée par l’artisan Phan Môt, 63 ans et 30 ans de métier, est impressionnante. Longue de 15 mètres et large de 11 mètres, elle est supportée par 80 colonnes. Les murs sont en bambous et tronçons de nypas. Le toit en chaume est fait de 100 pièces de feuilles de nypas tressées. La matière première coûte à elle seule 175 millions de dôngs et les travaux environ 700 millions de dôngs pour une durée de construction de cinq mois. Phan Môt est fier de posséder une maison en palmiers, la plus grande de Hôi An et même de tout le Centre. Chaque jour, son établissement accueille des touristes qui viennent la visiter et en savoir plus sur son métier d’artisan.

Source: CVN

Tomates farcies à la gastronomie vietnamienne

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Tomates farcies à la gastronomie vietnamienne: Cette farce est sans chapelure, sans riz, rien que de la viande et des arômes nature de la ciboulette, de l’échalote et du poivre. Elle est bien juteuse et moelleuse …

Ingrédients pour cinq personnes

• 1 oignon haché
• 1 ½ livre de porc haché très maigre
• 6 tomates bien mûres mais fermes assez grosse
• 1/4 de tasse de champignons fungus émincés
• 4 oignons verts hachés en morceaux de 2 pouces
• 1/2 c. à thé de sel d’ail
• 1/ 2 c. à thé de poudre d’oignon
• Poivre selon les goûts
• 2 c. à thé de sucre

Tomates farcies à la gastronomie vietnamienne
Préparation et conseils

• Couper les tomates en deux parties égales et évider les dans un bol. Conserver la pulpe et le jus.
• Tremper les champignons fungus dans de l’eau tiède pour les réhydrater.
• Assécher l’intérieur des tomates à l’aide d’essuie-tout, mélanger l’oignon, le porc, les champignons et les épices.
• Farcir les tomates de ce mélange et cuire dans un poêlon avec de l’huile du côté viande au début.
• Cuire un bon quart d’heure de chaque côté à feu moyen en surveillant.
• Réserver les tomates cuites de côté.
• Dans le même poêlon, ajouter la pulpe concassée et le jus des tomates, les oignons verts.

Riz gluant au taro et lait de coco

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 Riz gluant au taro et lait de coco: Au Vietnam, il n’existe pas de desserts tels que nous le concevons en Occident : le mets sucré consommé en fin de repas. Au Vietnam et en Asie en général, les fruits abondants ne suscitent que l’embarras du choix et ponctuent de façon exquise et légère un bon repas. 

Riz gluant au taro et lait de coco

Ingrédients pour 6 personnes

• 400 g de (grand) taro (en vietnamien khoai môn) en cubes (frais ou surgelés)
• 200 g de riz gluant (minimum 12 heures dans l’eau)
• 250 g de sucre
• 400 ml de lait de coco en boîte.
• 10 feuilles de pandanus fraîches – sinon on peut remplacer par une cuillère à café d’extrait de pandanus ou de vanille.
• 1 cuillère à café de fécule de tapioca (bôt nang) – sinon de la fécule de maïs (Maïzena).
• 1/2 cuillère à café de sel fin.
• Facultatif : Soit le vert naturel des feuilles fraîches de pandanus broyées et filtrées, soit 1/2 cuillère à café de colorant naturel alimentaire en poudre (marque Scrap Cooking par exemple).

Préparation et conseils

• La veille : laver à grande eau, rincer et faire tremper le riz gluant dans l’eau froide pendant au moins douze heures.

• Le jour J : préchauffer l’eau de la marmite à vapeur (casserole + panier ou étage à vapeur + couvercle).

• Peler le taro, laver et couper en cubes de 2 cm de côté environ.

• Dès ébullition, mettre les cubes de taro à cuire à la vapeur pendant environ 15 minutes. Vérifier que le taro est bien cuit. Il doit être farineux comme une pomme de terre bien cuite, mais avec de la tenue. Sortir aussitôt le taro et réserver dans un récipient pour le laisser refroidir.

• Rincer et égoutter le riz gluant.

• Laver et essuyer les feuilles fraîches de pandanus. Les attacher sur elles-mêmes (cf. photo). Si vous n’avez pas de feuilles de pandanus, attendez le moment d’ajouter le sucre pour mettre la vanille.

• Durant ce temps, dans une grande casserole, faire chauffer 1 litre d’eau jusqu’à ébullition, ajouter 100 ml de lait de coco et les feuilles de pandanus. Verser les 200 g de riz gluant. Mélanger. Baisser à feu moyen doux. Remuer de temps en temps. Laisser cuire environ 15 minutes (le riz doit avoir gonflé et n’a plus son aspect dur initial). À ce moment-là, verser le sucre (et la vanille si option). Bien mélanger jusqu’à dissolution complète du sucre. On doit avoir maintenant une sorte de bouillie de riz assez dense et brillante. Pour ceux qui le souhaitent, ajouter 1/4 de cuillère à café de colorant alimentaire naturel en poudre dans la bouillie pour obtenir un porridge vert comme aiment les Vietnamiens.

• Ajouter enfin les cubes de taro. Mélanger délicatement pour ne pas (trop) écraser le taro. Éteindre et couvrir la casserole.

• Dans une petite casserole sur feu moyen, verser les 300 ml de lait de coco restants, ajouter la fécule de tapioca (ou de maïs) préalablement mélangée avec un peu d’eau froide, le sel et 1 cuillère à soupe de sucre. Bien mélanger, ne pas cesser de remuer pendant toute la cuisson. Arrêter la cuisson dès qu’on obtient la texture d’une crème anglaise, une sauce liquide mais légèrement épaisse. Au goût, elle ne doit pas être trop sucrée, car le porridge le sera bien assez…

• Servir chaud, tiède ou froid selon goût. Verser une portion de porridge de riz au taro dans un bol, napper le riz de lait de coco en sauce. Mélanger un peu avant de déguster.

Source: Cap-vn

Salade de bourgeons de cocotier de Bên Tre

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Salade de bourgeons de cocotier de Bên Tre: La province de Bên Tre est connue comme la « capitale » nationale de la noix de coco. Les noix de coco, les feuilles, les tiges, les coques, les fibres…, tout est utilisé. Les bourgeons de coco ont même donné naissance à beaucoup de plats délicieux.   

Salade de bourgeons de cocotier de Bên Tre

Bourgeon de cocotier

Le bourgeon de cocotier est la partie terminale la plus jeune située à l’extrémité supérieure du cocotier. Chaque pied a un seul bourgeon recouvert d’une spathe, dont l’intérieur est blanc et doux. C’est cette partie qui est choisie pour concevoir des plats rustiques mais attrayants, tels que «bourgeons de cocotier sautés avec des entrailles de poulet», «bourgeons de cocotier frits avec des crêpes», «salade de bourgeon de cocotier» ou «bourgeons de cocotier crus». Mais c’est la salade de bourgeons de cocotier qui remporte sans conteste la palme de la saveur.

Ingrédients pour 4 personnes

– Bourgeon de cocotier : 300g
– Crevettes : 200g
– Viande de porc (ventre) : 100g
– Oreilles de porc : 100g
– Carottes : 50g
– Oignons : 50g
– Piment : 1
– Ciboules séchées frites : 20g
– Cacahuètes torréfiées : 30g
– Jus de citron : 1 c. à café
– Renouée odorante (menthe vietnamienne), sauce de poisson (nuoc mam), sucre.

Bourgeon de cocotier

Salade de bourgeons de cocotier avec des crêpes de crevettes frites

Préparation et conseils

– Décortiquer les crevettes, puis les cuire à la vapeur.
– Faire bouillir la viande et les oreilles de porc et les couper en tranches.
– Râper les bourgeons de cocotier, les tremper dans de l’eau froide avec un peu de jus de citron vert en vue de les rendre blancs.
– Couper les carottes, les oignons et les poivrons rouges en filaments.
– Mélanger les crevettes, la viande et les légumes.
– Mélanger un peu de nuoc mam, de sucre, et de jus de citron vert, puis verser cette sauce sur la salade.
– Saupoudrer la salade de ciboules séchées frites, de cacahuètes torréfiées et de renouée odorante.
– La salade peut être servie avec de la sauce aigre-douce et des crêpes de crevettes frites.

Source: VNI

Les “châu ban” des rois Nguyên au Vietnam

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Les “châu ban” des rois Nguyên au Vietnam un passé très present: Les “châu ban” des Nguyên recèlent des textes sur les relations extérieures dont les lettres diplomatiques, traités, contrats commerciaux signés entre la Cour de Huê et les pays étrangers. En particulier, de nombreux documents dévoilent la direction des rois sur la protection des archipels de Hoàng Sa (Paracel) et Truong Sa (Spratly). Reportage de la Voix du Vietnam.

Les “châu ban” de la dynastie des Nguyên viennent d’être inscrits au patrimoine documentaire du registre Mémoire du monde pour l’Asie-Pacifique de l’UNESCO. Il s’agit d’une collection de documents officiels de la dernière dynastie féodale du Vietnam qui nous apprend beaucoup sur les activités de la cour et la vie sociale vietnamienne au XIXe et pendant la première moitié du XXe siècle.

Les “châu ban” sont les documents administratifs de 11 des 13 rois Nguyên, lesquels ont régné de 1802 à 1945. Il s’agit de requêtes, d’ordonnances, d’édits et de rapports que les rois ont personnellement examinés ou ratifiés en utilisant une plume à encre rouge.

Il reste près de 800 ensembles de “châu ban” équivalant à 85.000 documents, soit 200.000 feuilles, autant d’archives aussi précieuses qu’exhaustives sur tous les aspects de la vie politique, administrative et socio-économique du pays sous la dynastie des Nguyên.

« Les +châu ban+ des Nguyên, qui sont conservés en grand nombre, retracent toute l’histoire de cette dynastie. Les chercheurs peuvent y trouver tous les documents qu’ils veulent dans tous les domaines. Maintenant qu’ils sont inscrits au patrimoine mondial, ces documents prennent une valeur internationale. Ils participent à l’enrichissement des recherches historiques non seulement vietnamiennes mais aussi régionales et mondiales, » a indiqué Hà Van Huê, directeur du Centre national d’archivage Nº1.

De toutes les dynasties vietnamiennes, celle des Nguyên est la plus développée sur le plan administratif. Et ses “châu ban” sont des documents administratifs très élaborés. Ils sont rédigés de manière extrêmement stricte, et ont une très grande valeur administrative et juridique. S’il y a un domaine où il y a peu d’informations dans les “châu ban”, c’est la santé de la famille royale. En revanche, on y apprend beaucoup sur les épidémies qui frappaient la population.

Pour exemple, en 1840, sous le règne du roi Minh Mang, une terrible épidémie de peste a sévi dans la province de Thanh Hoa, faisant 1087 morts entre le premier et le sixième mois lunaire. Un “châu ban” en date du 19 juin 1840 rapporte que cette épidémie a touché le district de Thua Thiên où certaines familles ont perdu plusieurs de leurs membres. Sur le plan économique, les “châu ban” relatent en détails les échanges commerciaux entre le Vietnam et d’autres pays de la région. Dans le pays, c’est l’agriculture qui était le secteur économique essentiel.

Les “châu ban” des rois Nguyên

« L’agriculture occupe une place prépondérante dans les +châu ban+ des Nguyên, ce qui traduit toute l’importance que les rois accordaient à ce secteur essentiel de l’économie nationale », a affirmé Nguyên Thu Hoai, une responsable du Centre national d’archives Nº1.

« Chaque mois, les responsables locaux présentaient des rapports à la cour sur la situation climatique et le prix du riz. Il faut savoir que sous la dynastie des Nguyên, il y avait beaucoup d’inondations, les digues étant fragiles, d’où la fréquence des famines. C’est pourquoi la cour demandait aux localités de lui adresser des rapports mensuels afin de pouvoir venir en aide aux habitants dans le besoin. En cas de mauvaise récolte, la cour distribuait des semences aux paysans ou les exemptait d’impôts. », a-t-elle fait savoir.

Les “châu ban” des Nguyên regorgent aussi de documents liés à la souveraineté maritime et insulaire du Vietnam. Ils nous apprennent que les rois Nguyên avaient établi, sur les archipels de Hoàng Sa et Truong Sa, un système de gestion administrative. Certains documents relatent l’envoi par le roi de missions vers ces îles pour en explorer les ressources ou les cartographier. On trouve également des décisions royales récompensant les personnes méritantes en matière de gestion ou d’exploration de Hoàng Sa et Truong Sa.

Selon Hà Van Hue, directeur du Centre national d’archivage Nº1, « les +châu ban+ des Nguyên sont aussi riches que variés. Un nombre important de documents retracent l’exercice, par le Vietnam, de sa souveraineté sur les archipels de Hoàng Sa et Truong Sa. Aussi, ces documents sont-ils précieux non seulement pour les chercheurs en culture et en histoire, mais aussi pour notre lutte politique visant à prouver notre souveraineté maritime et insulaire. »

La dynastie des Nguyên nous a légué un véritable trésor historiographique, dans lequel les “châu ban” occupent une place essentielle. Leur authenticité, leur originalité, leur unicité, leur valeur et leur influence régionale et internationale ont valu aux “châu ban” des Nguyên une place méritée au patrimoine mondial du registre Mémoire du monde de l’UNESCO pour l’Asie-Pacifique en 2014.

La dynastie des Nguyên est la dernière dynastie féodale du Vietnam. Elle a compté 13 souverains qui régnèrent sur le pays de 1802 à 1945. Sa terre d’origine est la province de Thanh Hoa. À la fin de la dynastie des Lê, en 1802, les Nguyên s’emparèrent du pouvoir et unifièrent le pays, lui donnèrent le nom de «Viêt Nam». Nguyên Phuc Anh devient le premier empereur sous le nom de Gia Long, fondant ainsi la dynastie des Nguyên qui règna jusqu’à l’abdication de Bao Dai en 1945.

Les rois des Nguyên sont Gia Long (1802–1820), Minh Mang (1820–1841), Thiêu Tri (1841–1847), Tu Duc (1847–1883), Duc Duc (1883), Hiêp Hoà (1883), Kiên Phuc (1883–1884), Hàm Nghi (1884–1885), Dông Khánh (1885–1889), Thành Thai (1889–1907), Duy Tân (1907–1916), Khai Dinh (1916–1925) et Bao Dai (1926–1945).

Source: AVI

Poulet rôti à la vietnamienne dans le repas Vietnam

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Poulet rôti à la vietnamienne dans le repas Vietnam: Pour un repas vietnamien complet, le poulet rôti est servi avec des nouilles à l’ail et une salade de légumes marinés, par exemple, ou avec du riz parfumé et une salade, ou des légumes sautés.

Poulet roti Vietnam

Ingrédients :

– 1 poulet coupé en huit morceaux ou 6 belles cuisses de poulet ;

– 4 gousses d’ail écrasées ;

– 2 cuillères à soupe de miel ;

– 1/2 cuillère à thé de sel ;

– 1/2 cuillère à thé de poivre du moulin (ou un peu plus, pour la chance) ;

– 3 cuillères à soupe 1/2 de sauce soja ou de sauce Maggi ;

– 2 cuillères à soupe 1/2 d’huile d’arachide.

Préparation et conseils :

  • Mélanger l’ail, le miel, le sel, la sauce soja et l’huile. Verser dans un grand plat et y ajouter le poulet. Bien mélanger le tout pour enrober le poulet de cette marinade. Si vous utilisez un poulet entier ou des poitrines, remplir la cavité avec de la marinade. Laisser mariner au réfrigérateur de quatre heures au minimum jusqu’à vingt-quatre heures au plus, en arrosant périodiquement la viande ;
  • Préchauffer le four à 400°C ;
  • Trente minutes avant la cuisson, le sortir du réfrigérateur pour qu’il revienne à la température de la cuisine. Placer un fond de papier aluminium sur une plaque à biscuit, et l’enduire d’une matière antiadhésive comme de l’huile, par exemple ;
  • Placer le poulet peau vers le bas sur la plaque puis cuire 15 minutes environ, jusqu’à qu’un grésillement constant se fasse entendre. Le retourner alors et laisser rôtir jusqu’à ce que la peau soit croustillante et que les jus de cuisson qui s’écoulent de la chair soient transparents.

Source: Cap-vn

Les circuits domestiques attirent les Vietnamiens

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Les circuits domestiques attirent les Vietnamiens: Un programme de promotion du tourisme domestique sur le thème « Les Vietnamiens voyagent au Vietnam » a été lancé en l’honneur du 54e anniversaire de la fondation de l’Administration nationale du tourisme du Vietnam (9 juillet).
Selon Nguyên Van Tuân, directeur général de l’Administration nationale du tourisme, ce programme qui est mis en œuvre dans l’ensemble du pays a pour but de maintenir l’élan de croissance du tourisme du Vietnam, contribuant au développement socioéconomique, à la protection des ressources environnementales et à la réduction de la pauvreté.
Ce programme encourage également les Vietnamiens à l’étranger à revenir dans leur pays natal ou d’origine, et à présenter l’image du pays de même que l’hospitalité de ses habitants aux amis internationaux.

Marche d'ethnie de Montagne
Après la cérémonie de déclenchement, 300 étudiants venus d’universités et écoles supérieures ont défilé à vélo dans le centre de Hanoi pour sensibiliser la population à voyager dans le pays.
Lors du premier semestre de l’année, malgré les difficultés causées par les tensions en Mer Orientale, le nombre de touristes étrangers au Vietnam a augmenté de 21,11% en glissement annuel. Les touristes vietnamiens sont estimés à 23,4 millions, soit une progression annuelle de 6,9%, portant le chiffre d’affaires du secteur du tourisme à 125.000 milliards de dongs (5,95 milliards de dollars), en hausse de 22,5% sur un an.
VNA/CVN