La danse dans les yeux d’artistes de Hanoi

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La danse dans les yeux d’artistes de Hanoi: De l’image au corps, du mouvement au son, de la danse traditionnelle à la danse contemporaine, une exposition fascinante ouverte le 2 juin à Hanoi convie le public à explorer des territoires gestuels et les rapports entre la danse et les arts plastiques.La danse dans les yeux d’artistes de HanoiLa danse dans les yeux d’artistes de Hanoi

Une œuvre présentée à la Maison des expositions, au 45 rue Tràng Tiên à Hanoi.
Une bonne centaine d’œuvres présentées sur le thème « La danse dans les yeux d’artistes de la capitale » met en lumière notamment des danses traditionnelles, des danses des Cham, le ballet, des danses contemporaines.
La danse dans les yeux d’artistes de Hanoi
Les œuvres, dont les modes d’expression – peinture, dessin, sculpture notamment – sont aussi diverses que les matières – acrylique, laque, fusain, papier et soie, s’inspirent de la danse, un art combinant harmonieusement le rythme, le mouvement, les costumes, la musique et la beauté physique.

Organisée par l’Association des beaux-arts de Hanoi:

En coordination avec l’Association des artistes de danse de Hanoi, cette exposition est visible jusqu’au 11 juin à la Maison des expositions, au 45, rue Tràng Tiên.

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l’art Cham à Da Nang Vietnam

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l’art Cham à Da Nang Vietnam; Influencée par la civilisation indienne, la culture du Champa se distingue par un art sculptural extraordinaire dont les plus beaux exemples sont à découvrir au Musée Cham de Dà Nang. Une collection qui compte parmi les plus belles au monde.IMG_2218

Le Musée Cham de Dà Nang, une adresse très fréquentée par les touristes tant vietnamiens qu’étrangers.
Situé au cœur de la ville de Dà Nang (Centre), le Musée Cham, appelé encore «Musée des antiquités Cham», conserve plus de 2.000 pièces couvrant la période allant du VIIe au XVe siècle, et provenant de découvertes faites à Dông Duong (Indrapura), Khuong My, My Son (autrefois centre intellectuel et religieux des Cham, classé patrimoine mondial depuis l’an 2000), Trà Kiêu (Simhapura, capitale du royaume Cham du IVe au VIIIe siècle dont ne subsistent que des remparts), Tháp Mam (Binh Dinh) et d’autres sites, la plupart localisés dans les provinces de Quang Nam et de Dà Nang. Les salles du musée portent les noms des lieux de découverte.IMG_2273

Un passé éclatant

Construite entre 1915 et 1936 avec le concours de l’École française d’Extrême-Orient – EFEO (siège à Hanoi du temps de la domination française, de 1882 à 1954), le Musée Cham couvre une superficie de 6.670 m². C’est l’archéologue français Henri Parmentier, de l’EFEO, qui est à l’initiative de cet ouvrage après la découverte des premiers objets Cham dans le Centre, à la fin du XIXe siècle, suite à des fouilles menées par l’administrateur de la province de Quang Nam, Charles Lemire.

En 1930, le bâtiment a été élargi pour accueillir des antiquités provenant de Trà Kiêu. Le musée a subi des fravaux de réfection en 2002, marquée par l’apparition d’un autre grand bâtiment à étages servant de salles d’exposition et d’un grand dépôt pour les collections.

Près de 500 pièces, en grès, en terre cuite et en bronze, dont des statues, objets de culte, objets de décoration… sont exposées, réparties selon leur zone de découverte. Il y a aussi des espaces réservés aux objets des provinces de Quang Tri, Quang Nam, Quang Ngai, Kon Tum, Quang Binh et Binh Dinh (Centre). Un certain nombre de statues trônent aussi dans le jardin.IMG_2277

Le Musée Cham est devenu un des lieux touristiques incontournables de Dà Nang. «C’est dans ce genre d’espace silencieux que je retrouve la sérénité. Ces sculptures nous plongent dans le passé d’un peuple brillant dont l’esthétique et la créativité semblent avoir atteint un niveau élevé», confie un touriste américain.

Pour un chercheur allemand, «on pénètre dans le monde mystérieux des divinités, avec des bas-reliefs racontant des épopées, des symboles religieux et des danseuses envoûtantes».

Parmi les quelque 2.000 objets conservés au Musée Cham, trois – que sont l’autel de My Son E1, celui de Trà Kiêu et la statue du bodhisattva Tara – sont actuellement en examen pour entrer dans la liste des objets précieux nationaux. Ces antiquités datent des VIIe et IXe siècles.

L’autel de My Son E1 (VIIe – VIIIe siècle) est une œuvre en grès, typique des autels trouvés à My Son. Un objet presque intact, de grande taille, agrémenté de sculptures représentant des personnages, des scènes de vie, des paysages, des animaux…, à rattacher au début de l’art sculptural Cham.

L’autel de Trà Kiêu (VIIe siècle) est entouré à la base de quatre bas-reliefs qui relatent plusieurs épisodes de l’épopée du Ramayana, dans un style typique de l’art amaravati du Sud de l’Inde.

Le troisième est une statue en bronze noir et rouge du bodhisattva Tara, datée du IXe siècle. Une superbe oeuvre d’art qui représente le bodhisattva les bras le long du corps avec les mains jointes. Une parfaite beauté féminine : visage charmant et expressif, taille fine, poitrine rebondie. Une sculpture si délicate qu’elle semble vivante. Cet objet provient de Dông Duong (Indrapura), site d’un important monastère mahayana, Lakshmindra-Lokeshvara, fondé en 875 sous le règne du roi Indravarman II.Muse de Cham

Consécration pour le Musée Cham : selon une décision du ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme, il est entré dans la liste des 12 musées nationaux (sur le total de 119) frappés du sceau de «musée de première catégorie».

Le royaume du Champa
Au IIe siècle apparaît le royaume du Champa, qui durera jusqu’au XVe siècle. Plus de 1.300 ans donc, largement assez pour bâtir une civilisation brillante. Du site de l’actuelle Dà Nang, son sanctuaire d’origine, il s’étendit vers le Sud et gagna les villes aujourd’hui connues sous le nom de Nha Trang et Phan Rang. Ses relations commerciales avec l’Inde influencèrent peu à peu cette civilisation, qui adopta le sanscrit comme langue sacrée et s’inspira de l’art indien.

Les plus belles collections d’art Cham se trouvent au musée de Dà Nang. Le site de My Son, proche de la ville, est le plus vaste témoignage connu de l’ancien royaume. Plus au Sud, les autres ruines Cham de Nha Trang et de Phan Rang-Thap Cham témoignent de l’existence d’une communauté légèrement différente, car de confession musulmane.

L’ hôtel 5 étoiles à Sapa

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L’ hôtel 5 étoiles à Sapa; L’hôtel international 5 étoiles Dông Duong a été mis en chantier le 30 mai dans le bourg de Sa Pa, district éponyme, province montagneuse de Lào Cai (Nord).

Maquette de l’hôtel international 5 étoiles Dông Duong.

Représentant un investissement de plus de 281 milliards de dôngs par son maître d’ouvrage, la société par actions de construction et de commerce du Vietnam – Constrexim, cet établissement de 156 chambres est situé à 0,9 km à l’Est du bourg de Sa Pa.

Outre cet hôtel de luxe, une dizaine d’autres projets d’hôtels et de villégiatures sont actuellement mis en œuvre dans le district de Sapa, dont la superficie sera doublée d’ici 2030 pour atteindre près de 4.637 ha, selon un plan d’aménagement rendu public en avril 2012.

L' hôtel 5 étoiles à SapaL’ hôtel 5 étoiles à Sapa.

Ce plan a été élaboré par l’Institut d’architecture et d’aménagement urbain et rural (VIAP) du ministère de la Construction, avec le soutien de spécialistes de l’Université de Bordeaux 3 (France). Selon le vice-ministre de la Construction, Nguyên Dinh Toan, ce plan permettra de faire de Sa Pa un pôle touristique.

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Les vacances d’été au village de Jun

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Les vacances d’été au village de Jun: Durant l’été, le village de Jun, situé dans la province de Dak Lak sur les hauts-plateaux plateaux du Centre, offre à ses visiteurs de magnifiques paysages, mais aussi bien d’autres plaisirs comme de se promener sur un éléphant, ou encore pagayer sur le lac Lak…

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Le village de Jun au bord du lac Lak.
Depuis Hô Chi Minh-Ville, il suffit d’emprunter la nationale 14 ou, plus simplement encore, de prendre l’avion pour la ville de Buôn Ma Thuôt. De là, il vous faut suive la route du district de Lak au bord de laquelle vous trouverez finalement Jun, ce village M’Nông niché entre un lac, les montagnes et les forêts du Tây Nguyên. Votre excursion pour la découverte de la culture traditionnelle des ethnies des hauts plateaux du Centre commence véritablement alors.

Relevant du bourg de Liên Son du district Lak, au bord du lac Lak, ce village est souvent comparé à une fille des régions montagneuses cachant malicieusement sa personnalité à celui venu la rencontrer.

En voyant les maisons sur pilotis des M’Nông sous de grands arbres, les jeunes femmes tissant de la brocatelle…, le visiteur a l’impression de se retrouver dans un autre monde, au temps suspendu, un peu comme dans l’un de ces nombreux et longs poèmes que ces terres singulières affectionnent. Malgré les vicissitudes du temps, le village a su conserver ses traditions et, en ces lieux, les villageois perpétuent un mode vie et des coutumes qui existent depuis si longtemps que personne n’est à même de dire depuis quand.don-village

Visite dans le village de Jun à dos d’éléphant.
Visite à dos d’éléphant
Durant la belle saison, le visiteur peut s’essayer à monter un éléphant. Les enfants peuvent participer aux jeux, apprendre à jouer du gong, construire des cabanes… ou encore aller à la pêche, apprendre la vannerie. Une femme peut préférer s’essayer à la brocatelle ou à la préparation du ruou cân, un alcool de riz en pot que l’on sirote avec un long chalumeau de bambou…

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Si vous avez le temps de rester une nuit, c’est encore mieux. Passer la soirée assis à la porte d’une maison sur pilotis, sous une grosse lune, en écoutant ce léger vent venant du lac faire bruire les arbres… Ou se réunir autour d’un feu pour écouter les patriarches raconter les légendes de ces terres tout en buvant du ruou cân, sont des moments magiques, hors du temps.

Enfin, on ne peut omettre la gastronomie locale qui assurément est un «must try» avec ses spécialités de poissons, d’aiguilles, ou de com lam (riz gluant cuit dans un morceau de bambou).

Et si jamais vous vous trouvez en pleine période festive, vous y découvrirez les cérémonies au son des gongs, les costumes de fête, les chants et danses traditionnels…

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Le village de Jun est une destination incontournable pour tous ceux qui souhaitent découvrir les mystères de la beauté sauvage et de la culture du Tây Nguyên.

La maison communale rông à Kon Tum

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La maison communale rông à Kon Tum: La province de Kon Tum est la terre de nombreux peuples autochtones du Haut Plateau (Tây Nguyên): Xo Dang, Bahnar, Ja Rai, Jé Triêng, Brâu, Ro Mam, la terre imprégnée de tradition épique et également le foyer des maisons communales traditionnelles.Maison culturelle

La maison communale rông est une oeuvre des arts, y compris la sculpture, la peinture, la décoration, … surtout l’expression de l’espace sacré, la force de la communauté et l’âme du village. La maison communale occupe le poste le plus important dans la pensée et la réalité de la vie quotidienne pour tous les membres de la communauté.

La maison communale rông est associée à la longue histoire des peuples autochtones à Kon Tum. La maison communale rông à Kon Tum avec des techniques simples, l’architecture diverse, est non seulement intrigués par les formes épurées et à la décoration unique, mais aussi dans l’habitude d’utiliser. Le village possédant une maison communale rông abrite plus librement de vitalité.
La maison communale rông est l’âme des groupes ethniques minoritaires à Kon Tum.Maison culturelle 1

La maison communale rông est généralement disposée dans le centre du village.
La maison communale rông est la combinaison de la sculpture, la peinture, l’architecture et l’art décoratif.
Touristes visitant un hameau à Kon Tum.
Les matériaux de la maison communale rông sont principalement de chaume, bambou, feuilles et bois.
La maison communale rông accueille de nombreuses activités sociales de la communauté.
Avec les gongs, la maison communale rông est considérée comme une icône culturelle caractéristique du Tây Nguyên (Hauts Plateaux du Centre).

La maison communale rông est généralement disposée dans le centre du village. Chaque ethnie a ses propres traits de l’architecture, le façonnage et la décoration. Les matériaux des maisons communales rông sont principalement dans les montagnes et forêts tels que de l’herbe, le bambou, le bois, le rotin, le bambou … Les gens font souvent leur maison communale rông selon la méthode manuelle et avec la participation de tous les foyers dans le village.

Au cours du développement social, les maisons communales rông demeurent toujours solides, endurant dans le temps. En plus des facteurs sociaux, la maison communale rông est devenue un symbole non seulement de la province de Kon Tum mais aussi des provinces du Tây Nguyên, un produit touristique spécial attirant les touristes étrangers à visiter et explorer.Maison culturelle 2

Pour préserver et maintenir les valeurs traditionnelles de maisons communales rông, ces dernières années, les autorités étatiques et locales ont accordé aux localités de l’intérêt et du soutien pour le remodelage local et la construction de nombreuses maisons communales rông.
Selon une orientation de développement en 2013 et les années suivantes de Kon Tum, 100% des villages de minorités ethniques de la province ont leur maison communale traditionnelle. /.

Les plus belles plages vietnam dans la liste du monde

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Les plus belles plages vietnam dans la liste du monde: Deux plages vietnamiennes dans la liste des plus belles plages du monde: Bien Hoi an

Les plages de An Bàng à Hôi An (Centre) et de Dài à Phu Quôc (Sud) figurent dans la liste des 100 plus belles plages de la planète publiée par le site web consacré au tourisme de la chaîne télévisée d’information américaine CNN.du-lich-bien-phu-quoc2

Ces résultats sont issus des sélections de spécialistes du tourisme et de lecteurs du monde entier. vnPhuQuoc-LanBien02

Concrètement, la plage de An Bàng s’arrive en 86e position, et la plage de Dài en 93e. Ces deux plages ont été retenues pour leur beauté bien sûr, qu’il s’agisse des eaux turquoises qui les baignent ou du cadre naturel qui les entourent.

Les maison d’hote au réserve Pù Luông

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Les maison d’hote au réserve Pù Luông : Les habitants vivant aux alentours de la Réserve nationale de Pù Luông (province de Thanh Hoa) s’engagent à développer l’écotourisme. Une orientation qui leur permet de gagner de quoi vivre tout en contribuant à la protection de l’environnement.Maison d'hote2
Escapade printanière à Pù Luông
La Réserve naturelle de Pù Luông se trouve dans la province de Thanh Hoa (Nord), à environ 180 km de Hanoi. Ouverte au public depuis quatre ans, elle est une destination idéale pour les gens proches de la nature. Réputée pour sa biodiversité ainsi que l’hospitalité de ses habitants, le site accueille un nombre croissant des touristes. Selon les statistiques du comité de gestion de cette réserve, ces quatre dernières années, Pù Luông a accueilli environ 4.000 visiteurs par an, toutes nationalités confondues.

Consciente des gros avantages de l’écotourisme, une partie des habitants locaux d’ethnie Thai s’est lancée dans le développement de ce modèle, expliquant la naissance du homestay et de quelques services en parallèle.Maison d'hote3

La Réserve nationale de Pù Luông arbore des paysages fascinants, avec notamment ses rizières en terrasses.
Si auparavant, passer la nuit à Pù Luông pouvait en inquiéter plus d’un, faute de lieux d’hébergement, ce problème ne se pose plus. Les aventuriers – mais également les moins débrouillards – peuvent facilement trouver un nid douillet à leur mesure dans les maisons sur pilotis des habitants plantées en pleine nature. Aujourd’hui, une trentaine de maisons des minorités Thai, réparties dans sept villages autour du site, proposent ce service quelle que soit la période de l’année.

Vàng Thi Dao, une responsable de l’Union des femmes du village de Hui, informe que la majorité des habitants de son village commence à tirer profit de l’écotourisme – ce par le biais du homestay – et n’ont plus besoin de vivre uniquement de la chasse et de la cueillette des produits forestiers. «Avec l’assistance financière des autorités locales, les Thai réaménagent soit une partie de leur maison, soit les élargissent pour accueillir les touristes. Si ces derniers le désirent, les +aubergistes+ peuvent aussi leur servir les repas – constitués de spécialités locales – ou faire office de guide, eux qui connaissent la région sur le bout des doigts», présente Mme Dao, qui gère aussi une maison sur pilotis du village de Hui, au cœur d’une vallée de la réserve.Maison d'hote 4

Rien de tel qu’une bonne randonnée pour découvrir le site.
À préciser que tout l’équipement nécessaire au service de l’usage quotidien des touristes est fait des matières premières que l’on trouve ici dans la nature. Ici, nulle trace de béton, de briques ou de sacs plastiques.

Le développement des services de l’écotourisme permet aux habitants d’augmenter les recettes familiales et de limiter la pression exercée sur les ressources forestières. Dô Ngoc Duong, directeur adjoint du comité de gestion de la Réserve nationale de Pù Luông, observe une forte baisse du braconnage dans les villages dont les foyers ont développé des services écotouristiques. «Le plus grand avantage dans le développement de l’écotourisme à Pù Luông réside dans le fait que cette activité bénéficie directement aux habitants locaux, ce qui leur permet d’améliorer de manière substantielle leurs revenus et de mettre fin à l’exploitation illégale des ressources forestières. Cela nous aide bien sûr énormément dans notre mission de protection et de préservation du site», conclut-il.